http://www.dailymotion.com/video/xir93_balkany-sarkozy-pauvres-en-france_events
Non, ce n'est pas un montage, c'est bien lui qui parle ainsi des pauvres, des SDF français!
Mais c'est qui, au fait, ce BALKANY, grand ami bling bling de SARKÖZY?
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http://www.dailymotion.com/video/xir93_balkany-sarkozy-pauvres-en-france_events
Non, ce n'est pas un montage, c'est bien lui qui parle ainsi des pauvres, des SDF français!
Mais c'est qui, au fait, ce BALKANY, grand ami bling bling de SARKÖZY?
28 mars 2008: pour en savoir davantage puisque les médias français ne disent pas "toute la vérité", allez sur ce site:
http://clicanoo.com/index.php?id_article=178270&page=article
Après une brève accalmie, les manifestations anti-françaises ont repris vendredi 28 mars aux Comores. Près d'un millier de personnes ont défilé à Moroni, brandissant des pancartes sur lesquelles on pouvait lire : "La France doit nous rendre Mohamed Bacar", "France dégage", "la France hors des Comores". Les manifestants accusent la France de protéger le président renversé d'Anjouan, Mohamed Bacar.
Le secrétaire d'Etat à l'Outre-mer, Yves Jégo, arrivé sur l'île à la mi-journée pour une brève visite prévue avant les incidents, a affirmé vendredi que de "nombreux" Anjouanais impliqués dans les violences de jeudi avaient été "interpellés" et seraient "fermement jugés".
Mohamed Bacar a été transféré, jeudi soir, de Mayotte à la Réunion. A son arrivée, il a été placé en garde à vue et sera déféré samedi devant le tribunal correctionnel de Saint-Denis de la Réunion. Selon le procureur de la République, François Muguet, vingt-trois autres personnes, essentiellement des militaires, l'ayant accompagné dans sa fuite, seront également présentées à la justice. L'ex-président d'Anjouan devrait notamment être poursuivi pour être entré illégalement à Mayotte, mais aussi pour détention d'armes.
18 blessés
L'ancien homme fort de l'île comorienne a été renversé mardi après avoir tenté de faire sécession avec le reste de l'archipel des Comores. Mercredi soir, il a pris la fuite et a trouvé refuge sur l'île française de Mayotte, provoquant la colère des autorités locales qui ont réclamé son extradition. "Nous avons notifié à la France que nous voulions que le colonel Mohamed Bacar et tous les rebelles en fuite soient extradés aux Comores", a déclaré le ministre des Affaires étrangères, Houmadi Abdallah." "Nous avons rappelé aux autorités françaises que les mandats d'arrêt international à leur encontre sont toujours en vigueur".
Jeudi matin, des manifestations tendues dénonçant "la France ennemie" avaient fait 18 blessés, dont un grave qui selon Yves Jégo a été opéré dans la nuit avant d'être transféré à la Réunion. Des centaines de manifestants avaient été signalés devant la Banque centrale, où travaillent de nombreux Français, et devant l'ambassade de France.
Une véritable chàsse aux Blancs a eu lieu!
Pour en savoir davantage, cliquez sur le lien clicanoo.com
(LCI.fr 28 mars 08)
Pas de boycott des JO. En léger décalage avec la position de Nicolas Sarközy, François Fillon estime que «la menace de boycott n'est pas la réponse adéquate. Elle n'est pas demandée par le dalaï-lama et elle pousserait la Chine à se fermer plus qu'à s'ouvrir. Ce qu'il faut, et la France s'y emploie, c'est une intervention politique forte auprès des dirigeants chinois, pour les appeler à plus de modération. D'autant que les revendications du dalaï-lama sont raisonnables : il réclame non pas l'indépendance du Tibet, mais une reconnaissance culturelle.»
(Source: Le Figaro 27 mars 08)
«Moi je serai président de l'Union au moment de la cérémonie d'ouverture, il faut donc que je consulte les autres sur leurs positions pour savoir si j'irai à la cérémonie d'ouverture ou pas», a-t-il expliqué lors d'une conférence de presse conjointe avec Gordon Brown. Avant de préciser : «J'espère bien qu'on va mettre à profit ces mois qui nous restent pour que la situation s'apaise et partant, en fonction de la situation au Tibet, je me réserverai le droit de dire si je vais ou non à la cérémonie d'ouverture et s'il y a lieu de prendre d'autres initiatives», a-t-il expliqué.
La consultation par la France de ses partenaires européens pourrait se solder par la négative. De nombreux pays de l'Union ne comptent en effet pas boycotter la cérémonie. A commencer par la Grande-Bretagne. «Nous ne boycotterons pas les jeux Olympiques», a confirmé Gordon Brown. «La Grande-Bretagne participera à la cérémonie d'ouverture». Une divergence de vue assumée avec la France, donc, au lendemain du discours de Nicolas Sarkozy sur «l'Entente amicale» entre les deux pays.
Le gravier impeccablement ratissé crisse sous les bottes des Horse Guards de la reine. Les chevaux pénètrent au trot enlevé dans la cour majestueuse du château de Windsor. Les hymnes français et britannique réchauffent l'atmosphère d'une cérémonie réglée par le protocole immuable de la cour d'Angleterre. La cinquième visite d'État d'un président français revêt un faste exceptionnel. Privilège rare, le couple présidentiel passe la nuit dans ce château, dont les premières pierres ont été posées il y a près de mille ans par Guillaume le Conquérant. Pour la reine, âgée de 81 ans, il s'agit de la 96e visite officielle depuis son couronnement en 1952.
12 h 15 (heure de Londres) : Le carrosse de la reine tiré par six chevaux blancs s'immobilise devant le dais royal. Nicolas Sarközy en descend après Élisabeth II, vêtue d'un manteau vieux rose et d'un chapeau de couleur paille rehaussé de plumes noires. Derrière eux, le cortège fait halte. Carla Bruni-Sarkozy et Philippe d'Édimbourg, qui ont pris place dans un second carrosse, rejoignent leurs époux. La première dame, souriante et très à l'aise, porte un sobre manteau redingote gris, gants, ballerines noires et ravissant petit chapeau, qui lui donne une allure de Jackie Kennedy. Ministres, conseillers et invités suivent dans trois landaus : Rachida Dati, coiffée d'un chapeau cloche, Rama Yade, en pantalon et tête nue, Bernard Kouchner hilare, l'ambassadeur Maurice Gourdault-Montagne, le "sherpa" Jean-David Lévitte et Marisa Bruni-Tedeschi, la mamma de "la première dame". La petite troupe regagne aussitôt l'intérieur de la demeure royale. Le prince de Galles et son épouse Camilla, qui sont allés accueillir le couple présidentiel à l'aéroport de Heathrow, s'éclipsent eux aussi. Nicolas et Carla Sarkozy sont très attendus. La presse anglaise spécule et polémique sur le style du président français. Des tabloïds ont même publié hier la photo de la "première dame", nue! «Une photo de Mme Sarkozy que la reine ne verra pas aujourd'hui», a titré le Daily Mail, jamais avare de piques antifrançaises. L'Élysée s'en est agacé, l'épouse du chef de l'État aussi. Avec elle, la reine se montre prévenante, échangeant quelques mots. Lorsque Nicolas Sarkozy et le prince Philippe vont passer les troupes en revue, Élisabeth II la retient par la manche. Carla affiche un sourire, faisant souffler un vent de fraîcheur sur une visite strictement minutée. La "première dame" n'hésite pas à faire une entorse à l'étiquette en prenant la main de son époux pour le prévenir que le duc d'Édimbourg veut lui adresser la parole. À Windsor, Carla accomplit un sans-faute. Engoncé dans son manteau bleu marine, le président semble concentré et plus mal à l'aise, peut-être pour éviter l'impair. Seul couac : Claude Gassian, photographe et invité personnel de Carla Bruni-Sarkozy, se fait rappeler à l'ordre alors qu'il s'approche trop des personnalités.
12 h 30 : La fastueuse cérémonie d'accueil prend fin. La reine et ses invités pénètrent dans l'imposante forteresse par la porte dite «des souverains». Un peu plus tôt, Élisabeth II a traversé le village de Windsor à bord de sa Bentley rutilante pour recevoir ses hôtes.
15 heures : Après le déjeuner, la souveraine entraîne ses invités dans sa galerie personnelle, où sont exposées quelques pièces d'art français, notamment un dessin de Napoléon II acquis par la reine Victoria.
15 h 30 : Le protocole reprend ses droits. Nicolas Sarkozy dépose une gerbe sur la tombe du soldat inconnu à l'abbaye de Westminster. Un soldat anglais tué pendant la Première Guerre mondiale y est enseveli dans de la terre ramenée de France. Un peu plus tard, à Westminster, les parlementaires des deux Chambres (communes et lords) sont réunis dans la galerie royale avec ses murs surchargés de vitraux et son haut plafond à caissons dorés. Un honneur auquel avaient eu droit les prédécesseurs de Nicolas Sarkozy, de De Gaulle à Chirac.
16 h 10 : Après les images, place au premier discours de ce voyage. Debout derrière un pupitre en bois, le président de la République retrace la glorieuse histoire du Royaume-Uni et ses complexes relations avec la France. «Nos deux nations se sont affrontées pendant des siècles, affirmant chacune sa personnalité en l'opposant à l'autre, se combattant non parce qu'elles étaient trop différentes mais parce qu'elles se rassemblaient trop », déclare-t-il en déclenchant les premiers applaudissements. Quelques minutes plus tard, les parlementaires applaudissent chaleureusement leur hôte quand il adresse un «merci éternel aux jeunes Britanniques pour ce qu'ils ont fait pour la liberté du peuple français» . Dans ce décorum royal, Nicolas Sarkozy redit son admiration pour le modèle anglais qui a accompli, selon lui, «bien des révolutions auxquelles les peuples ne se sont résolus que lorsqu'ils y furent contraints» . Hissant l'Angleterre au rang d'exemple à suivre, le chef de l'État s'est félicité que ce pays ait «montré que, dans l'économie globale, il existait une voie pour atteindre une croissance forte, le plein-emploi, la solidarité». Ensuite, il s'efforce pendant trois quarts d'heure de redéfinir les contours de la « nouvelle entente » franco-britannique qu'il place au même niveau, voire au-dessus du « moteur » franco-allemand. Dans son élan, Nicolas Sarkozy rebaptise l'« entente cordiale » en « entente amicale ». Il se contente en revanche de deux phrases sur le Tibet, pour appeler au dialogue entre le dalaï-lama et le gouvernement de Pékin. Avant de retourner à Windsor, le chef de l'État se rend au palais de Buckingham, où il reçoit pendant quelques minutes le chef de l'opposition conservatrice David Cameron et le libéral-démocrate Nick Clegg.
20 heures : La première journée de la visite d'État s'achève par l'incontournable banquet. Un dîner digne du livre des records : une table en acajou longue de 55 mètres, une liste de 146 convives et, bien sûr, tenues de gala, habits et robes longues. Au menu, filets de barbue Béatrice, noisette d'agneau Bréhan et savarin à la rhubarbe. Le tout arrosé d'un chateau-margaux 1961 et d'un chassagne-montrachet 2000. La reine est assise entre Nicolas Sarkozy et Bernard Kouchner. Son mari, entre Carla Sarkozy et Rachida Dati. Une première journée pleinement réussie pour le président. Avant d'arriver à Londres, le président avait promis un changement de style. «S'il y a un problème de style, j'espère que vous apprécierez l'habit que j'ai fait faire pour la soirée royale…»
(Source: le Figaro - 26 mars 08)
Depuis le début de la semaine, Olivier Martinez est, malgré lui, la vedette du web. «Je n'aime pas Olivier Martinez» est devenu un des titres les plus populaires de la blogosphère francophone. Ce «mauvais buzz» qui s'est répandu en 48 heures sur plus de 170 sites et a conduit à la création d'un groupe Facebook et d'une vidéo sur Dailymotion, se veut un soutien massif à Eric Dupin. L'auteur de Presse-Citron, un de blogs français les plus lus, a en effet été assigné en référé par le héros du «Hussard sur le toit». L'audience a eu lieu mercredi et le jugement sera rendu mercredi prochain. Fait atypique, ce n'est pas une note écrite par le bloggeur qui a provoqué la plainte mais un lien, publié par un internaute sur Fuzz.fr (l'agrégateur d'informations en ligne crée par Eric Dupin), qui évoquait la vie sentimentale du comédien. Et la plainte résonne, pour les internautes, comme une menace pour la liberté d'expression régnant sur le web.
Eric Dupin qui déplore «un système judiciaire qui écrase une puce avec un marteau», estime que ce référé est injustifié, à l'image des 30.000 euros de dommages et intérêts réclamés (soit un an de son salaire de développeur web). La somme, selon lui, ne correspond pas à la réalité du trafic de son site. «Fuzz avait environ 2000 visites quotidiennes lorsque le lien a été ajouté en janvier. Aucun lecteur ne l'a noté, il a disparu vite de la masse. Le lien sur Martinez n'a dû être vu que par une dizaine de personnes» a expliqué au figaro.fr le propriétaire de Presse-Citron, qui affirme ne pas pouvoir surveiller le contenu des 150 liens qui sont publiés chaque jour sur Fuzz . Eric Dupin regrette aussi que l'avocat du comédien ne lui ait pas demandé le retrait du lien litigieux dans un délai de 24 à 48 heures comme cela se fait parfois. «Je l'aurais volontiers enlevé», souligne-t-il. D'ailleurs il a fermé Fuzz.fr jusqu'à nouvel ordre, afin de montrer sa bonne volonté et éviter d'autres procès en cascade. Surtout le bloggeur fait valoir son statut de simple hébergeur de Fuzz, ce qui, d'après la Loi sur la confiance dans l'économie numérique, le dédouane de toute responsabilité sur les liens proposés par les utilisateurs de cette communauté.
Des arguments que rejette le défenseur d'Olivier Martinez, Emmanuel Asmar, spécialiste des questions sur les flux RSS. «Quel que soit le support, journal, télévision ou internet, la responsabilité de celui qui publie est engagée et celui-ci doit respecter la loi et les dispositions relatives à la vie privée [Ndlr:article 9 du code civil]» souligne l'avocat au figaro.fr. «Du moment qu'un tri peut être effectué sur les liens proposés, la responsabilité est en jeu. Le titre du lien incriminé n'était pas neutre, il annonçait clairement le contenu de la rumeur» poursuit Emmanuel Asmar, qui estime qu'une telle sélection est possible sur Fuzz puisqu' «on n'y trouve pas de liens vers des sites pédophiles ou érotiques». L'avocat, surpris par l'ampleur de la polémique, rappelle qu'Olivier Martinez ne désire pas qu'on parle de sa vie privée et a lancé des poursuites contre une vingtaine de sites.
«Nous ne cherchons pas à être les zorros du web, la liberté d'expression est une valeur essentielle de notre société toute comme le respect à la vie privée» ajoute-t-il. Et s'il n'a pas réclamé un retrait du lien, c'est que le mal était déjà fait. «Entre le moment où le contenu litigieux est publié et sa suppression demandée, il peut s'écouler plusieurs jours pendant lequel le lien reste consultable et l'information dommageable circule» explique Me Asmar qui dément toute motivation pécuniaire : «30.000 euros est un signe fort et symbolique mais le juge examinera les ressources d'Eric Dupin avant de fixer le montant des dommages».
Mais ce n'est pas seulement l'impact financier qui préoccupe Eric Dupin, le bloggeur craint les conséquences d'une condamnation sur le web 2.0. «Cela mettra en péril ce modèle qui repose sur la collaboration et la reprise de contenu, via les flux RSS. Il va falloir modérer à priori ou s'équiper d'algorithme pour faire le tri, ce sera la prime aux riches», craint le fondateur de Presse-Citron.
Des cas similaires se sont déjà présentés. Fin février, le tribunal de grande instance de Nanterre a condamné lespipoles.com à verser 1.000 euros à Olivier Dahan, pour avoir fait un lien renvoyant sur un article de Gala.fr (depuis supprimé) qui abordait la vie privée du réalisateur de La Môme. Wikio qui avait lui aussi repris le lien de Gala.fr, n'a en revanche, pas été sanctionné, en raison d'un vice de forme. Si Eric Dupin n'obtient pas la relaxe, il n'exclut pas que Google soit la prochaine cible des avocats. «Le moteur de recherche répertorie également des liens. Ne faut-il pas alors l'attaquer lui aussi?» s'interroge le bloggeur.
Une enseignante a été agressée et légèrement blessée par un élève mercredi au lycée Frédéric Mistral à Fresnes (Val-de-Marne) lors d'une épreuve d'examen blanc, a-t-on appris de sources policière et judiciaire.
Peu avant 12H00, le professeur de 41 ans aurait empêché un élève de 17 ans de sortir avant l'heure autorisée de la salle où se déroulait une épreuve de BEP blanc, a expliqué la source policière.
Le jeune homme aurait alors bousculé l'enseignante et l'aurait projetée au sol, avant que des élèves n'interviennent pour mettre fin à l'altercation, a précisé cette source.
Souffrant d'un hématome à la tête, le professeur a été transporté par les pompiers au CHU du Kremlin-Bicêtre pour y subir des examens, selon la même source.
Une incapacité totale de travail de quatre jours a été délivrée à la victime, qui a assuré avoir reçu des coups de poing et avoir été tirée par les cheveux, a précisé une source judiciaire.
L'élève, qui a nié avoir donné des coups de poing, a été interpellé et placé en garde à vue au commissariat de l'Haÿ-les-Roses, chargé de l'enquête, selon la même source. Sa garde à vue a été prolongée mercredi soir de 24 heures, a-t-elle ajouté.
Les responsables de l'établissement et le rectorat n'ont pas pu être joints mercredi soir par l'AFP.
Accueillis hier à Londres par la reine d'Angleterre pour une visite de deux jours, Nicolas Sarközy et son épouse, Carla, sont partis à la conquête des parlementaires britanniques pour l'un, d'un public friand de glamour pour l'autre.
C'est une véritable déclaration d'amour à Albion que Nicolas Sarközy a prononcée hier devant les députés et lords britanniques réunis dans la galerie royale du palais de Westminster. Après quelques mots hésitants dans la langue de Shakespeare - « Thank you but waiting my speech » -, il s'est lancé dans un plaidoyer en faveur d'une « nouvelle fraternité franco-britannique », joignant les mains en signe d'union entre deux pays « frères ». Un discours préparé avec soin par son conseiller spécial Henri Guaino et son « sherpa » Jean-David Lévitte, et applaudi à quatre reprises, sans compter la standing ovation finale.
Le mot clé : « ensemble », titre de son livre pendant la présidentielle. Car Sarközy était un peu en campagne hier, pour convaincre les Anglais de jouer la carte de l'Europe et pour reconquérir des Français ronchons. Dans l'assistance se trouvait le Premier ministre, Gordon Brown, écouteurs sur les oreilles. Carla, elle, était sagement assise derrière son époux.
« Ensemble » sur la scène internationale. Parce que les deux pays sont membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU, Sarkozy a appelé Londres à oublier les querelles du passé pour peser « ensemble » sur les affaires du monde. Et de citer le Proche-Orient, l'Iran, le Darfour, et surtout le Tibet, pour lequel il a exigé de la Chine le « respect des droits de l'homme ». « Pour conjurer le danger du choc des civilisations, le monde a besoin de nos deux vieilles nations », a plaidé Sarközy.
Europe. Sarközy, qui a des relations compliquées avec la chancelière allemande, Angela Merkel, a fait les yeux doux à Gordon Brown, pourtant réputé eurosceptique. Revêtant avec un peu d'avance ses habits de président de l'Union européenne, il a invité Londres à prendre toute sa place en Europe.
Afghanistan. Sans surprise, le président a confirmé le renforcement de la présence militaire française aux côtés des soldats britanniques, car en Afghanistan se « joue une partie essentielle ». « Nous ne pouvons pas accepter un retour des talibans et d'Al-Qaïda à Kaboul. La défaite nous est interdite. »
Un plaidoyer pour les réformes. A travers les « Members of Parliament », c'est aussi les Français que Sarközy, en pleine opération de représidentialisation, s'est efforcé de séduire. Son discours était retransmis en direct par plusieurs chaînes en France. « Les réformes, je les mènerai à leur terme. Je n'ai pas été élu pour m'incliner devant les fatalités », a-t-il juré... en citant en exemple la très libérale Grande-Bretagne, un « modèle, une référence ».
(Le Parisien - 27 mars 08)
«Notre situation pose des questions juridiques, politiques et sociales inédites. Pour le moment, nous essuyons seulement le rejet de quelques personnes choquées par notre démarche», raconte cette semaine Thomas Beatie, dans la revue américaine gay The Advocate. Et pour cause.
En juillet prochain, ce trentenaire sera le papa d'une petite fille... qu'il aura lui-même mis au monde !
Pour comprendre cette histoire, il faut revenir quelques années en arrière, à la naissance de Thomas Beatie, transexuel né femme du nom de Tracy Lagondino.
Il y a dix ans, après une opération pour devenir légalement un homme, il épouse Nancy avec qui il vit dans l'Orégon. Le rêve d'avoir un enfant s'amenuise le jour où l'épouse devient stérile à la suite d'une hystérectomie (ablation de l'utérus). Alors Thomas propose une solution inédite : porter l'enfant.
«Le premier médecin que nous sommes allés voir était un endocrinologiste, explique-t-il. Il était choqué par notre idée et m'a proposé d'aller plutôt me faire un soin capillaire... Puis après une consultation à 300 dollars, il a accepté à contrecœur de me faire un bilan de santé initial. Tout en exigeant que nous nous rendions également dans un clinique psychiatrique pour savoir si nous étions prêts à porter un enfant».
Après avoir arrêté son traitement hormonal pour pouvoir enfanter, Thomas Beatie retrouve très vite un cycle menstruel. «Je n'avais plus eu de règles depuis environ huit ans !, s'étonne-t-il. Mon corps s'est régulé de lui-même au bout de seulement quatre mois».
A cette étape, le mari décide alors de tenter une insémination inédite, par l'intermédiaire d'une banque de sperme à donneurs anonymes, qui a fonctionné à le seconde tentative. La naissance est prévue pour le 3 juillet prochain.
Interrogé sur le plateau d'une émission de la chaîne américaine ABC, le docteur Masterson a expliqué la possibilité d'une telle histoire : «Un homme transexuel peut tomber enceinte parce qu'il a les mêmes organes qu'une femme» ;
On ne trompe pas la nature!
AFP. Le tueur en série présumé Michel Fourniret se décrit comme "un être mauvais et dénué de tout sentiment humain" dans le document qu'il a transmis jeudi à la cour d'assises des Ardennes pour justifier son souhait de garder le silence à son procès, dont l'AFP a obtenu une copie.
"Difficile de prendre la parole quand ce que l'on a à dire n'est pas plus beau que le silence", écrit Michel Fourniret, s'inspirant d'un proverbe chinois, en préambule de ce texte manuscrit d'une dizaine de pages au style ampoulé.
"La présence (au procès, ndlr) d'une assistance composée de X fois plus de curieux et de désoeuvrés de toute qualité que de personnes concernées musèle inévitablement le coupable, que je suis c'est-à-dire un être mauvais et dénué de tout sentiment humain", ajoute-t-il.
"M.O (Monique Olivier, ndlr) ne fut pour moi qu'un objet que mon absence de scrupules manipula constamment par un jeu pervers consistant à dire à une pauvre paumée romanesque ce qu'elle avait soif d'entendre, mais c'est constamment que je la frappais", poursuit-il.
Le procès de Michel Fourniret et de son épouse et complice présumée Monique Olivier, s'est ouvert jeudi vers 10H30 à Charleville-Mézières. Il doit durer deux mois.
Répétant qu'il souhaite un procès sans public ni journalistes, le principale accusé assure dans son texte transmis sous la forme d'une liasse de feuilles roulées que sa "position de mutisme (...) puis la décision de boycotter le procès furent pesées et mûries longuement".
Dans des termes très confus, il nie à nouveau toute responsabilité dans la disparition de la petite Estelle Mouzin, et dans les dossiers Joanna Parrish et Marie-Angèle Domèce qui lui ont valu une mise en examen pour assassinat mi-mars.
Il évoque également son désir de rencontrer en tête à tête les familles de ses victimes présumées et son souhait de se passer de ses avocats.
"Je viens ici leur demander de recouvrer à la fois leur indépendance d'opinion et leur dignité en déclinant une commission (d'office) qui les voue à une présence réduite à un rôle de potiche indigne de leur qualité", écrit-il.
"Le fond de ce document est sans intérêt. Il contient sa logorrhée habituelle", a réagi à la fin des audiences Me Alain Behr, avocat d'une des parties civiles, soulignant la "mégalomanie" et la "perversion" de Michel Fourniret.
"Ce texte lui correspond, il est dans la ligne des correspondances qu'il a écrites depuis quatre ans", a estimé de son côté Me Pierre Blocquaux, un des avocats de Fourniret.
LA MORT POUR LES IMMONDES!
LES NOUVEAUX IDIOTS UTILES
Chronique hebdomadaire de Philippe Randa
Une actualité en chassant une autre, gageons que les droits de l’homme tibétains finiront par laisser la place à d’autres tout aussi bafoués et Dieu sait s’il y en a … Enfin, Dieu ou plutôt les États-Unis d’Amérique, ses représentants auto-proclamés, qui ne cessent inlassablement de les dénoncer partout, mais plus particulièrement où leurs intérêts sont en jeux.
Car il y a répression et répression, n’est-ce pas ? D’un côté, celle des vilains du mois : les Chinois ! Ils sont très nombreux : plus d’1 milliard 400 000 rien que chez eux, sans compter ceux du XIIIe arrondissement parisien. Ils ont les yeux bridés, tout comme leurs victimes, les Tibétains, qui, eux, sont moins de six millions, chiffre symbolique, lourd de danger d’extermination potentiel. En cours, l’extermination, même si pour l’instant elle reste quelque peu timide : 19 morts pour l’agence Chine nouvelle, 99 pour le gouvernement tibétain en exil à Dharamsala, auxquels il convient d’ajouter les bastonnés et les emprisonnés.
Ces morts – à 80 près, mais quand on ne s’aime pas, on ne va pas perdre son temps à compter – n’en finissent pas d’être brandis par tous les médias de la planète pour stigmatiser l’abominable régime de Pékin et faire oublier un autre bilan comptable, celui des 4 000 Américains tués en Irak depuis sa « libération » en 2003 et les quelques 80 000 victimes civiles irakiennes…
Assurément, le Monde va mieux depuis que Saddam Hussein a été vaincu, mais on frémit tout de même à l’idée de ce qu’il serait si le Président de la République populaire de Chine Hu Jintao connaissait le même sort.
À cet égard, ce pays, à l’instar de la Russie de Vladimir Poutine et de l’Iran de Mahmoud Ahmadinejad, ne cesse à l’évidence d’empêcher les États-Unis de dominer économiquement le Monde comme il l’entend. Il était donc grand temps de dénoncer ce scandale. Le Comité international olympique en a fourni une superbe occasion en choisissant l’Empire du Milieu pour que s’y déroulent les Jeux de la 29e Olympiade.
C’est l’occasion pour nombre d’associations, d’ONG et d’officines, toutes plus ou moins manipulées par l’Oncle Sam de clouer les successeurs du Grand Timonier au pilori des sacro-saints Droits de l’homme made in America. Il n’y a là rien de bien nouveau : entre les années 60 et 80 du siècle dernier, les mêmes associations et officines œuvraient pour le Bloc soviétique… La plupart de leurs responsables d’alors étaient tout aussi stupides que sincères. Les communistes parlaient d’eux comme des « idiots utiles ».
Bien utiles, assurément.
http://www.dailymotion.com/video/x4uod9_french-president-nicholas-sarkozys_news
C'était bien la peine de couper la tête à notre Roi!
Même ses amis les plus proches l'appellent "Ma'am"(à prononcer "ham"). C'est elle qui vient vers vous, pas le contraire. La doyenne des têtes couronnées d'Europe adresse toujours la parole en premier. Ni accolade ni poignée de main, encore moins de baisers. A table, il faut rester "up straight", droit comme un i, les mains posées de préférence, entre les plats, sur les genoux et sous la table.
JAMAIS DE SUJETS PERSONNELS!
Elizabeth II est une personnalité à deux faces, qu'elle ne montre jamais simultanément. L'une lointaine et froide, l'autre affectueuse et drôle. Le problème pour ses invités est qu'ils ne savent jamais auquel des deux visages ils ont affaire. Dès lors, la conversation est un exercice compliqué. Si elle s'acquitte de sa tâche diplomatique avec un art consommé, la discussion va rarement au-delà des poncifs. Si on essaie de l'entraîner hors des banalités d'usage, elle vous arrête d'un "c'est très intéressant" ponctué d'un sourire et change de sujet. Introvertie, la dame ne tolère ni l'humour agressif ni les blagues vulgaires.
Une règle d'or : ne parlez jamais de choses personnelles - famille, santé, états d'âme. La reine n'est pas non plus une intellectuelle. Seuls les historiens de la monarchie et les experts militaires semblent trouver grâce à ses yeux. Elle a peu d'intérêt pour les arts, exception faite de la photographie. Les grandes questions philosophiques ne passionnent guère une personnalité terre à terre, rurale dans l'âme, qui ne jure que par les chevaux de course.
N'essayez surtout pas de lui en mettre plein la vue. C'est une pro qui a eu pour interlocuteurs onze premiers ministres britanniques, autant de présidents américains, tous les présidents de la Vème République. C'est aussi une experte du repérage social, jaugeant les détails qui font le gentleman - les chaussures en particulier. La reine n'est pas très au fait de la haute technologie, tout juste connaît-elle l'existence d'Internet, qu'elle ne maîtrise pas, et du Blackberry.
La "première dame de France", Carla Bruni-Sarközy, doit le savoir : la reine préfère être entourée d'hommes et déteste les conversations "de femmes". Elle ne s'intéresse pas vraiment à la mode, se maquille peu et aime être vêtue de manière classique. Détestant l'univers libertin, Elizabeth est très prude, plutôt coincée. Elle n'a connu qu'un seul homme dans sa vie, Philip
(le Monde - 26 mars 08)
Comme l'a déclaré Sarközy: "Windsor, c'est la classe! "
Tout le monde espère une gaffe, guette l' impair, la bévue! Suspense!
Mais qu'il fasse attention à ses chaussures!
A la tête de l'Association des contribuables de l'Hérault, Martine Petitout est convaincue du contraire et a décidé en 2005 de poursuivre en justice les deux collectivités pour une large part des subventions qu'elles ont accordées en 2004 et 2005 au titre du soutien à la vie culturelle à une association baptisée Centre culturel montpelliérain (CCM). L'action en cours porte ainsi sur une subvention de 60 000 euros accordée par le Conseil régional, et une subvention de 443 968 euros accordée par la commune de Montpellier.
Fondé en 1973, le Centre culturel montpelliérain regroupe plus d'une trentaine d'associations : Les amis d'Auguste Comte, La croisée des chemins, Les Philalèthes, etc. Devant le tribunal administratif, le commissaire du gouvernement (chargé de dire le droit) a précisé que "le CCM est rattaché à la Grande Loge de France, comme l'a reconnu lui-même le grand maître Alain Pozarnik". Au total, ces associations regroupent quelque 1 400 membres.
Mme Carole Vinsonneau, avocate de la mairie de Montpellier, a souligné qu'on ne pouvait pas définir le CCM comme une association à caractère cultuel. Mais ce n'est pas sur cet argument que s'est basé le commissaire du gouvernement. Selon lui, un seul élément suffit pour estimer ces subventions illégales, celui de "l'intérêt public local". Une notion complexe, mais qui, selon lui, n'est pas respectée dans le cadre d'associations franc-maçonnes.
"Les deux collectivités estiment que le CCM organise des colloques et publie des livres, précise le commissaire, mais le dossier ne comporte aucune preuve concrète du rayonnement culturel de l'association vers l'extérieur. La seule référence à un colloque est sans date, sans lieu et ne comprend pas de preuve de la présence d'un public". Le commissaire en a conclu que les activités du CCM étaient autarciques, que les associations qui le composent étaient elles-mêmes "sélectives socialement et sexuellement" et ne pouvaient recevoir des subventions au titre de "l'intérêt public local". Il a demandé l'annulation des deux délibérations accordant les subventions. La décision devrait être rendue courant avril.
(Le Monde -26 mars 2008)