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  • Prime aux fonctionnaires qui "s'expatrient"

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    Le montant de la future indemnité de mobilité versée aux fonctionnaires qui feront le choix d'être affectés dans les banlieues les plus sensibles pourra atteindre 10.000 euros sur trois ans.

    Les fonctionnaires qui feront le choix de venir travailler dans un quartier de banlieue difficile, ceux où la présence de services publics et de l'Etat fait particulièrement défaut, se verront octroyer une indemnité de mobilité pouvant atteindre 10.000 euros. Fadela Amara, la secrétaire d'Etat chargé de la Politique de la ville, a dévoilé ce montant hier devant les élus de l'Association des maires des grandes villes (AMGVF). Ce dispositif incitatif, dont Nicolas Sarközy avait fait l'annonce le 8 février dernier, lors de la présentation du plan Espoir Banlieue, s'appliquera aux agents de la fonction publique d'Etat.

    Le versement de ce « bonus » s'effectuera par tranches annuelles sur trois ans. Un décret pris en application de la toute nouvelle loi sur la mobilité en fixera les critères de déclenchement et les conditions de mise en oeuvre. Il lui faudra notamment dessiner les territoires qui seront déclarés éligibles à ce dispositif. Tous relèveront de la politique de la ville sans pour autant que les 646 zones urbaines sensibles (ZUS) y figurent exhaustivement.

    « Il s'agit d'une action ciblée sur les territoires où l'Etat a vraiment du mal à affecter ses représentants », indique-t-on en substance au cabinet de Fadela Amara. En outre, le niveau de cette prime devrait varier selon les sites, la somme de 10.000 euros étant considérée comme un montant maximal.

    Rénovation urbaine

    Face à des élus encore sur leur faim, trois mois après l'annonce du plan Espoir Banlieue, la secrétaire d'Etat mise aussi sur le lancement d'un second programme de rénovation urbaine. Complémentaire de celui piloté par l'Anru (Agence nationale de rénovation urbaine), il devrait mobiliser de 7 à 13 milliards d'euros d'investissement en faveur des banlieues sur six ans (2010-2015).

    Le chef de l'Etat avait promis en février dernier de pérenniser l'effort massif d'investissement déjà engagé à travers l'Anru ou en voie de l'être (40 milliards d'euros d'ici à 2012). Ce second programme devrait, selon le cabinet de Fadela Amara, s'exercer au profit de « projets qui n'ont pas encore pu sortir dans un certain nombre de quartiers prioritaires ou d'autres qui n'ont pu être traités que partiellement compte tenu de l'ampleur de leur périmètre ».

    Enfin, la secrétaire d'Etat a confirmé la tenue d'un Comité interministériel des villes (CIV), le 16 juin à Meaux. Cette instance nationale de pilotage de la politique de la ville n'a pas été réunie depuis plus de deux ans.

    (Les Echos - 21 mai 2008)

    Aller travailler au "Maghreb" ou en "Afrique noire" sur le territoire métropolitain!

    Les banlieues "sensibles" (à quoi et pour quoi?) ne font donc plus partie de la France. "Ils sont chez eux chez nous": mais oui!

  • Poème pour ma mère

    Boulevard Mérentié

     

    Il avait des maisons calmes et des passants légers

    C'est là que j'appris à aimer ma mère

    Plus que tout au monde

     

    Les dimanches étaient pareils à des arbres fruitiers

    Les semaines semailles mêmes de ma vie

     

    Elle m'apprenait

    La course si mobile des nuages

    Le soleil des lents après-midi d'été

     

    Sans mots ni phrases

    Le bonheur d'aimer

    Pour toute l'éternité

     

    Gaëlle Mann

     

     

  • LA FÊTE DES MERES

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    La fête des mères trouve ses origines dans l'adoration de la mère qui était pratiquée en Grèce antique. Ce culte païen comportait des cérémonies en l'honneur de Rhéa (ou Cybèle), la Grande mère des dieux. Ce culte était célébré aux Ides de Mars dans toute l'Asie mineure :

    (Source: Wikipédia)

  • Fantastique Ile de Groix

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    Ile de Groix

  • Phénomènes lumineux en Bretagne

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    Ile de Groix - Kerloret
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    Falaises de l'île de Groix
    Les observations de phénomènes lumineux dans le ciel breton intriguent. Des sphères roses ont été vues récement au-dessus de l'île de Groix (Morbihan). Elles étaient blanches au-dessus de Châteaugiron (Ille-et-Vilaine). Le même phénomène  avait été aperçu le 14 avril dans le ciel de Lanester (Morbihan) et le 28 avril dans celui du Relecq-Kerhuon (Finistère). Gendarmes et spécialistes recueillent les témoignages.
    (Aujourd'hui en France - 22 mai 2008)

  • Le tee-shirt qui provoque sa ire...

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    "Je dénonce cette dérive autoritaire attentatoire aux libertés. » Un avocat avignonnais, Me Roland Marmillot, s'est dit « désagréablement surpris » hier. Le motif : Nicolas Sarközy se constitue partie civile dans une affaire de tee-shirts parodiant les marques célèbres.
    Au milieu de la tourmente, sur un tee-shirt commercialisé par une société lyonnaise, JMB, un logo transformant le "o" du patronyme du Président en cible avec un slogan "Tolérance zéro... 50 points" ainsi que "Liberté, égalité, fraternité" maculé d'une tache de sang.
    Sur des tee-shirts commercialisés par d'autres sociétés, Lacoste, devenue "J'accoste", et Heineken se portent également parties civiles.

     

    Au milieu de cette ronde de tee-shirts qui déplaisent, une entreprise du Vaucluse, basée à Morières-les-Avignon : Arclo, et son gérant, Thierry Boeuf.
    L'affaire a débuté le 22 octobre 2007. Ce jour-là, Thierry Boeuf a vu débarquer dans son atelier deux gendarmes arrivés tout droit de Savoie, puisqu'un magistrat savoyard instruit l'affaire, et quatre militaires de Saint-Saturnin-lès-Avignon.
    Une fouille en règle est alors effectuée. « Comme s'il cherchait de la drogue », avait précisé le gérant morierois.
    Lors de la perquisition, ce ne sont pas moins de 6 000 logos détournés qui seront saisis entre le domicile, la fabrique et le magasin de la fille de Thierry Boeuf qui vend les fameux tee-shirts.

    Au terme d'une garde à vue de 12 heures, le gérant peut enfin rentrer chez lui et continuer à travailler. Car cette vente de tee-shirts ne constitue que 10 à 15 % de son chiffre d'affaires. Mais la production se poursuit avec des slogans toujours plus corrosifs comme, au sujet des radars qui ont fleuri aux bords des routes : "Racket autorisé de l'automobiliste ruiné".
    Dernier épisode judiciaire en date : une convocation chez le juge le 9 avril. Et une mise en examen à la fin du mois dernier pour contrefaçon, modification de marque sans autorisation, provocation à une infraction en matière de stupéfiants et incitation au terrorisme.
    « Il n'y a qu'une seule instruction. D'autres entreprises sont concernées », complète l'avocat.

     

    Marlboro qui devient "Malbarré", ou encore La Poste se transformant en "Riposte, on a tous à y gagner", sans oublier le symbole de la République Marianne auquel est accolé le slogan "Tout est imposé rien est proposé", ne plaisent pas aux marques.
    Mais Maître Marmillot le répète : « On peut comprendre qu'un débat civil puisse se poser, mais pas au pénal. »

    Pour revenir au tee-shirt avec le nom du Président de la République, commercialisé par la marque lyonnaise JMB, l'avocat estime qu'« on est dans la satire politique. Même de Gaulle n'a l'avait pas fait en mai 68. Il n'a engagé aucune poursuite, et pourtant il avait été attaqué ».
    Mais tout change. Les habitudes des présidents également.

    (Le Dauphiné libéré - 24 mai 2008)

  • La mort des autres

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    Fernand Dray, 85 ans

    AFP. 24 mai 2008. Quatre peines de prison avec sursis et trois relaxes requises: l'accusation a fait mercredi la part des responsabilités dans "l'accumulation invraisemblable d'imprudences et de négligences" commises dans le scandale sanitaire des hormones de croissance remontant aux années 80.

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    Photo de David Lasserre mort en 1991
    Après trois mois et demi d'audience au tribunal correctionnel de Paris, les vice-procureures Danièle Mirabel et Dominique Pérard se sont relayées durant cinq heures pour un réquisitoire fleuve.

    Le but : montrer les "graves fautes d'imprudence et de négligence" commises dans la collecte, le conditionnement et la distribution à 1.698 enfants de cette hormone fabriquée alors à partir de l'hypophyse, une glande crânienne prélevée sur les cadavres.

    "Le quantum des peines demandées, a prévenu d'emblée Danièle Mirabel, est sans rapport avec la douleur difficilement quantifiable" des familles des 114 jeunes morts de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) après s'être fait injecter de l'hormone de croissance infectée.

    Mais ces condamnations sont là pour "marquer la réprobation de la société", a-t-elle dit.

    C'est donc quatre ans de prison, la peine maximale mais assortie du sursis, qu'elle a réclamés pour Jean-Claude Job, l'ancien président de l'association France Hypophyse, qui avait le monopole du traitement.

    "Il était le coordinateur de tout le système", a-t-elle assuré, le disant mené par "sa volonté de renommée et de gloire".

    Même peine demandée pour Fernand Dray, lui aussi âgé de 85 ans, ancien responsable de l'extraction et de la purification de l'hormone dans son laboratoire de l'Institut Pasteur.

    Chercheur, et non industriel, il n'avait pas les qualifications pour surveiller la fabrication d'un médicament, mais il a accepté car il pouvait ainsi extraire d'autres hormones de l'hypophyse et donc "poursuivre ses recherches", a-t-elle dénoncé, demandant la relaxe pour des accusations de malversations financières.

    Un an avec sursis a été requis pour la pédiatre Elisabeth Mugnier. Alors jeune fille en train d'écrire sa thèse, c'est elle qui allait de morgue en morgue collecter les hypophyses, sans aucune précaution, selon l'accusation.

    Pour Marc Mollet, ancien responsable du conditionnement du médicament à la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH), deux ans avec sursis ont été requis.

    "Même une quincaillerie aurait été mieux tenue", a lancé Mme Pérard, reprochant à ce pharmacien de ne pas avoir "rejeté les lots douteux", et d'avoir mis en circulation en 1985 des lots non purifiés à l'urée, alors que les risques avaient été démontrés.

    La relaxe a en revanche été demandée pour son supérieur hiérarchique Henri Cerceau, à qui il n'y a guère à reprocher que "d'avoir manqué de curiosité".

    Relaxe également pour le médecin prescripteur Micheline Gourmelen, et pour le haut fonctionnaire du ministère de la Santé Jacques Dangoumeau.

    Il y a aussi eu "tromperie", a insisté Mmme Pérard, car l'information des familles sur les risques "a été vague, approximative et mensongère".

    "La transmissibilité de la MCJ avait été démontrée bien avant les années 80", a affirmé Danièle Mirabel, tentant de parer par avance les arguments de la défense, dont les plaidoieries débutent jeudi et qui a déjà maintes fois répété que les connaissances scientifiques de l'époque ne permettaient pas aux prévenus d'appréhender les risques.

    Après l'audience, certaines familles avaient du mal à accepter ces réquisitions : "une demande de simple sursis pour 114 victimes !", s'indignait une mère en pleurs.

     

  • Ces jeunes obsédés par le sexe...

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    Les visages sont floutés...

    Trois collégiens âgés de 16 ans de Moissy-Cramayel, en Seine-et-Marne, ont été mis en examen vendredi 23 mai pour agression sexuelle sur une élève de 14 ans et enregistrement d'images pédo-pornographiques. Les trois collégiens ont été présentés vendredi soir au juge des enfants, après avoir imposé une relation sexuelle à une élève du même établissement, a expliqué une source judiciaire, confirmant une information du Parisien.

    Deux des agresseurs auraient menacé la victime, qui leur avait "promis une fellation", de diffuser le contenu de leur discussion sur un forum internet, si elle refusait de tenir sa promesse. Alors qu'elle s'exécutait, la victime s'est rendue compte que leurs ébats étaient filmés par des amis de ses agresseurs et s'en est plainte auprès d'un responsable du collège. Ils ont été mis en examen pour agression sexuelle pour deux d'entre eux, alors que le troisième est poursuivi pour enregistrement d'images pédo-pornographiques. "Les faits font l'objet d'une information judiciaire", a ajouté une source policière sans autre précision.

    Il s'agit de la troisième affaire de ce type en quelques semaines. Egalement en Seine-et-Marne, à Roissy-en-Brie, une information judiciaire a été ouverte jeudi pour des faits similaires. Une fillette de 9 ans aurait été violée à plusieurs reprises par son voisin de 15 ans avec la complicité du frère de la victime âgé de 12 ans.

    Le 16 mai, une troisième affaire semblable avait été découverte dans les Yvelines. Deux préadolescents de 11 et 12 ans avaient ainsi été mis en examen pour avoir violé la soeur du second, âgée de 10 ans, à la Queue-les-Yvelines et diffusé la scène via un portable dans leur école.

    A noter que l'élève de 14 ans, qui pratiquait une fellation dans son collège, s'est plainte, non pas des menaces, mais du fait qu'el!e était filmée en pleine action! 

    Elle s'est plainte à un "responsable du collège"! Ce "responsable" devrait être lui aussi mis en examen: il ne voit et ne sait rien de ce qui se pratique dans l'établissement qui l'emploie? Il se comporte comme un complice...

    Ces collèges devienent de véritables b......!

    (LCI.fr - 24 mai 2008)

  • Einstein, les Juifs et la religion

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    Einstein (dans une lettre privée) : la religion est "infantile", faite de "légendes primitives" et les juifs ne sont ’choisis en aucune manière’.

    jeudi 15 mai 2008 par N.O.T.

    Les vues du grand scientifique sur la religion ont été longtemps débattues, avec un recours à de nombreuses phrases comme "Il [Dieu] ne joue pas aux dés" en tant que preuve qu’il croyait en un "créateur" tel que l’entend le judéo-christianisme.

    Mais une nouvelle lettre a juste été dévoilée, dans laquelle Einstein répond au philosophe Eric Gutkind.

    Dans une lettre datée du 3 janvier 1954, il écrit : "Le mot dieu est pour moi rien de plus que l’expression et le produit de la faiblesse humaine, la Bible une collection de légendes honorables mais toujours primitives qui sont cependant assez infantiles.

    "Aucune interprétation, quelle qu’en soit sa subtilité, ne peut changer cela."

    Einstein, qui est mort l’année suivante à l’âge de 76 ans, n’a pas épargné le judaïsme de sa critique, croyant que les juifs n’étaient en aucune manière "choisis" par Dieu.

    Il écrit : "Pour moi la religion juive comme toutes les autres est une incarnation de superstitions les plus infantiles. Et les juifs auxquels j’ai le plaisir d’appartenir et avec qui ma mentalité a une profonde affinité n’ont pas de différente qualité pour moi que toutes les autres personnes.

    "Aussi loin que va mon expérience, ils ne sont pas meilleurs que les autres groupes humains, bien qu’ils sont protégés des pires cancers par un manque de pouvoir. Autrement je ne peux rien voir de "choisi" à leur sujet."

    Cette lettre, qui pour des décennies était restée en mains privée, est apparue lors d’une vente jeudi à Bloomsbury Auctions, à Mayfair. On attend qu’elle soit vendue pour jusqu’à £8.000.

    Éduqué dans une école primaire catholique mais ayant reçu des cours particuliers de judaïsme, Einstein a écrit plus tard que le "paradis religieux de la jeunesse" - lorsqu’il croyait ce qu’on lui disait - s’est rapidement effondré lorsqu’il a commencé à mettre en doute la religion à l’âge de 12 ans.

    Il a écrit : "Les conséquences en furent une pensée libre positive fanatique couplée à l’impression que la jeunesse est trompée par l’État avec des mensonges ; c’était une impression écrasante."

    La même année il a écrit une lettre dans laquelle il disait aussi qu’il voulait "faire expérience de l’univers en tant qu’un Tout cosmique unique".

  • "Les cabanes du Président"...

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    Photo: Cabane de jardin
    © A. Green/zefa/Corbis/A. Green
    C'est un bruit de "couloirs" du quotidien Aujourd'hui en France qui ne me laisse pas indifférent. Une brève intitulée "Les cabanes du président".

    Où l'on apprend que Nicolas Sarközy raconte ces temps-ci, une anecdote qui illustre "à la perfection, la nécessité de favoriser la concurrence dans le commerce."

    (Surtout ne pas oublier que la semaine prochaine, l'Assemblée Nationale entame l'examen de la loi de modernisation de l'économie.)

    Donc, le chef de l'Etat raconte qu'il souhaite acheter pour ses enfants deux cabanes de jardin.

    Et qu'il en a trouvé une dans une grande surface pour 309 €.
    Mais, manque de pot, le supermarché n'en avait qu'une.

    Alors, "notre" président s'est tourné vers un autre magasin.

    Et là, stupeur du président: "la même cabane, exactement la même" coûtait 325 €.

    Vous avez compris le message de Nicolas Sarközy.
    Pour votre pouvoir d'achat, faites jouer la concurrence!

    Dites, j'y pense, vous y croyez vraiment vous à cette hisoire?

    Vous imaginez Nicolas Sarközy dans un hypermarché, le samedi après-midi, allant acheter sa cabane de jardin pour les mouflets, avec son caddie...

    Puis la charger dans sa voiture, aidé par Carla.

    Et hop, en passant, il fait le plein de gasoil, parce que c'est quand même moins cher.

    Puis, il va en face, chez Jardiland pour acheter l'autre cabane.

    Et là, le président de s'offusquer:
    "Non, c'est pas croyable!
    "Tu te rends compte, Carlita!
    "Cette cabane, elle va nous coûter 16 euros de plus que l'autre!
    "Les bras m'en tombent..."

    Et puis vous ne trouvez pas bizarre, que personne ne se soit trouvé dans cette grande surface ou dans l'autre magasin, avec un téléphone portable pour immortaliser la scène.

    Carla et Nicolas accompagnés des deux enfants en train de choisir les cabanes de jardin et de discuter du prix avec un vendeur...

    Parce que là, franchement, si quelqu'un possède une photo, il faut vite l'envoyer au Post. On va faire un malheur !

    (Source: Le Parisien - Aujourd'hui en France)
    LePost - 23 mai 2008

     


  • Céline Dion chevalière de la légion d'honneur

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    AFP. Céline Dion a été faite chevalier de la Légion d'honneur par le président Nicolas Sarközy, jeudi 22 mai, lors d'une cérémonie à l'Elysée en présence de la famille de la chanteuse au grand complet.

    L'artiste québécoise, visiblement très émue, était vêtue d'une robe noire à dentelles surmontée d'une veste cintrée en satin noir. Elle était accompagnée de son mari et agent René Angelil, son fils René-Charles, portant cravate club et baskets blanches, sa mère Thérèse Tanguay, dans une longue robe vert d'eau, ainsi que ses treize frères et soeurs, certains accompagnés de leur propre famille.

    Tous étaient arrivés à l'Elysée à bord d'un bus blanc à étage.

    Rendant hommage à la "star internationale", actuellement en tournée en France, le chef de l'Etat a lancé que "la France ayant changé, ceux qui réussissent sont les bienvenus ici". (Pour ceux qui n'ont pas réussi: "Casse-toi, pauv'con!")

    Il a tenu à "remercier" Céline Dion de "faire rayonner notre langue au-delà de nos frontières". "Il faut comprendre que si nous sommes tellement attachés" à la langue française, "ce n'est pas par opposition à l'anglais", a dit M. Sarkozy, pour qui le "monde est plus heureux avec plusieurs langues" car "la diversité est une richesse".

    "L'amour, qui tient une place essentielle dans votre vie, est très présent dans votre parcours artistique", a-t-il également affirmé, ajoutant qu"'il n'y a qu'une seule façon d'aimer: aimer totalement. L'amour, il ne doit pas y avoir d'impudeur à le partager. Ça donne une certaine fraîcheur".

    A la chanteuse québécoise, le chef de l'Etat a également tenu à dire que "le Québec, ce sont nos frères, le Canada, ce sont nos amis. Nous avons besoin des deux".

    "Avant d'être président de la République, j'ai fait deux, trois trucs, dont aller vous écouter", a également lancé le président à la chanteuse qui lui a répondu: "merci d'avoir pris le temps de m'épingler vous-même". Puis elle a dédié sa médaille à sa famille, notamment son père, décédé il y a cinq ans, sa mère, "mon héroïne", son mari, "l'homme de ma vie", son fils, "l'homme de mon coeur".

    Au fait, où était Carla Bruni pendant ce temps? Boudeuse, jalouse, ailleurs?

  • Vient de paraître... nouvelle édition

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    La Dame en signe blanc de Pierre-Émile Blairon, Éditions Crusoe

    Les lois cosmiques règlent le cours du temps et la succession des cycles ; le christianisme, l’Ère du Poisson, a succédé au paganisme, l’Ère du Bélier, et, auparavant, du Taureau. Mais pour que meurt un cycle et renaisse un nouveau, il lui faut un témoin et ce témoin, ce bâton de relais, c’est le lieu. Le temps, les hommes et leurs œuvres passent, mais le lieu reste, immuable. Chaque lieu contient toute la mémoire de l’humanité.

    La Dame en signe blanc, en faisant revivre les grands mythes des commencements, à travers l’histoire de ce site provençal, étonnamment riche en événements, nous en fait la démonstration.

    Les derniers Hyperboréens, le peuple primordial qui a apporté la connaissance à la Terre , ont fini leur vie à la bataille de Roquefavour, tout près d’Aix-en-Provence. C’est là, en ce même lieu, que le Graal païen, symbole du savoir, porté par le Janus de Roquepertuse, a cédé la place au Graal chrétien, symbole d’amour, apporté par Madeleine après son débarquement en Provence. C’est encore sur ce site que naîtra l’Ère du Verseau lorsque le Grand Monarque, annoncé par Nostradamus, sera réveillé.

    Pierre-Émile Blairon, La Dame en signe blanc, 268 pages dont cahier central photos couleur de 24 pages, 25 euros, Éditions Crusoe, BMB, BP 50169, 13795, Aix-en-Provence cedex 3 ou à commander par internet à : http://www.hyperboreemagazine.fr

  • VIDEO Ségolène et son 1er conseiller...

    http://www.dailymotion.com/video/x4kdbf_royal-fountaine_news

    Le 2 mars 2008

  • Art préhistorique

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    Les lionnes - Grotte Chauvet - environ 33.000 ans
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    La Dame à la capuche - trouvée à Brassempouy, dans les Landes- entre 29.000 et 25.000 ans.
    Sculptée dans un fragment d'ivoire de mammouth, la statuette ne mesure que 3,65 cm de haut.
    C'est le plus plus ancien visage humain découvert jusqu'à nos jours.
    On peut voir "La Dame à la capuche" au musée de Brassempouy (Landes)

  • Perpétuite requise contre les innommables

    La réclusion criminelle à perpétuité a été requise jeudi à la cour d'assises des Ardennes contre les époux Fourniret, assortie pour lui d'une «impossibilité totale» de sortie et pour elle d'une période de sûreté de 30 ans.

    Contre Michel Fourniret, l'avocat général Francis Nachbar a demandé une réclusion à perpétuité «incompressible», possibilité offerte selon lui par la loi du 1er février 1994 et qui signifie qu'«on est sûr qu'il ne sortira plus jamais».

    «Cette disposition spéciale est encourue en raison des seuls faits commis contre Mananya Thumpong:  un assassinat accompagné de viol sur mineur de moins de 15 ans» perpétré en 2001 après l'entrée en vigueur de la loi, a expliqué le parquet général dans un communiqué.


    A l'encontre de Monique Olivier, 59 ans, Francis Nachbar a réclamé la réclusion à perpétuité assortie d'une période de sûreté de 30 ans, délai avant lequel elle ne pourra bénéficier d'aucun aménagement de peine ou libération conditionnelle.

    Si la prison à vie n'est pas infligée à Monique Olivier, a expliqué M. Nachbar, elle n'encourrait plus que 20 ans de réclusion criminelle et risquerait de sortir dans «8 ou 9 ans» en vertu de possibles réductions de peine et des quatre années de détention provisoire effectuées.

    «Je n'ai rien contre les réductions de peine mais je suis choqué par les excès», a affirmé l'avocat général.

    A ce procès ouvert depuis deux mois, Michel Fourniret doit répondre de sept meurtres de jeunes filles précédés de viol ou tentative, commis en France et en Belgique entre 1987 et 2001.

    Monique Olivier est accusée d'être coauteure du meurtre de Jeanne-Marie Desramault en 1989, et complice de trois autres.

    «Je vous en conjure, ne faites pas courir à notre société, à nos enfants le moindre risque, ce serait mortel pour eux», a lancé Francis Nachbar à l'adresse de la cour. «La perversité ne se soigne pas, elle se combat», a-t-il poursuivi citant un expert psychiatre ayant témoigné à l'audience.

    «Nous avons affaire à un couple de criminels d'une cruauté et d'une inhumanité que jamais notre pays n'avait imaginé connaître», a-t-il également déclaré. «Tous les deux vous n'avez que les apparences d'êtres humains», a-t-il ajouté.

    Le verdict est attendu pour le mercredi 28 mai, après les plaidoiries de la défense prévues lundi et mardi.

    (Le Parisien - 22 mai 2008)

  • La sonde martienne Phoenix

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    AFP. 22 mai 08. Après un voyage de neuf mois, la sonde américaine Phoenix doit se poser sur Mars dimanche pour rechercher de la glace dans le permafrost arctique de la planète rouge et des indices de l'émergence d'une vie primitive potentielle.

    Lancée le 4 août 2007, Phoenix sera le premier vaisseau à se poser dans l'arctique martien pour une mission de trois mois.

    Après 679 millions de kilomètres parcourus, Phoenix entrera dans la haute atmosphère martienne le 25 mai vers 23H31 GMT à 21.000 kilomètres/heure pour commencer une descente périlleuse avant de se poser en douceur sept minutes plus tard à 23H38 GMT, précise le Jet Propulsion Laboratory (JPL) de la Nasa à Pasadena en Californie (ouest).

    Toutefois, le JPL n'aura la confirmation radio qu'à 23H53 GMT. Il faudra 15,3 minutes au signal pour parcourir à la vitesse de la lumière les 276 millions de kilomètres séparant alors Mars de la Terre.

    Les responsables de la mission décrivent cette approche finale du sol martien comme "sept minutes de terreur" notant la difficulté à faire poser une sonde sur Mars. Seulement 45% de tous les vaisseaux envoyés sur cette planète ont réussi à s'y poser.

    Pour Fuk Li, le responsable de l'exploration de Mars au JPL, "ce risque vaut la peine" car a-t-il dit jeudi à la presse "la moisson scientifique de cette mission sera exceptionnelle et ouvrira un nouveau chapitre dans notre compréhension de Mars".

    Pour rentrer dans l'atmosphère, Phoenix utilisera un bouclier thermique avant de déployer un parachute supersonique pour ralentir sa vitesse.

    Puis la sonde allumera des rétro-fusées 37 secondes qui la feront se poser en douceur sur ses trois pieds dans la plaine de Vastitas Borealis correspondant en latitude au nord du Canada sur la Terre.

    Une minute après la confirmation de l'arrivée, Phoenix observera un silence radio pour économiser ses batteries puis déploiera ses deux antennes solaires circulaires une vingtaine de minutes après, le temps de laisser reposer la poussière et d'éviter de souiller les panneaux solaires.

    "Phoenix ne vise pas seulement à étudier le permafrost arctique martien mais aussi à déterminer si cette région est habitable" pour de futures explorations habitées, explique Peter Smith, le responsable scientifique de la mission.

    Phoenix est dotée d'instruments qui, en analysant la composition du permafrost, pourront détecter des molécules de carbone et d'hydrogène, des éléments nécessaires à la vie.

    La sonde peut aussi découvrir d'autres composants chimiques et déterminer si une forme de vie primitive a été ou est encore possible sur Mars, ajoute Peter Smith de l'Université d'Arizona (sud ouest).

    Une fois sur Mars, Phoenix qui est aussi dotée d'une caméra, déploiera un bras articulé de 2,35 mètres capable de creuser à une profondeur d'un mètre dans le sol pour y trouver de la glace.

    Un des instruments du bras peut chauffer les échantillons pour détecter des substances volatiles telle l'eau.

    L'orbiteur américain Mars Odyssey avait détecté en 2002 de vastes quantités d'hydrogène à la surface de la planète confirmant que les régions polaires sont recouvertes de glace.

    Les deux robots américains Opportunity et Spirit, qui explorent depuis trois ans la surface de Mars à l'équateur, ont aussi découvert des indices de la présence passée d'eau.

    Avec ses deux antennes solaires déployées, Phoenix mesure 5 mètres de largeur sur 1,52 mètre de longueur et pèse 350 kilos, dont 55 kilos d'instruments scientifiques.

    La sonde devrait accomplir ses tâches avec des températures de moins 73 à moins 33 degrés Celsius. Le coût de la mission Phoenix est de 420 millions de dollars.

    A Paris, la Cité des sciences invite le public à suivre en direct l'atterrissage de la sonde Phoenix, avec une soirée exceptionnelle dimanche entre 20h30 et 3h du matin, selon un communiqué jeudi

  • Ils se prostituent pour un lecteur MP3!

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    Jeunes dans le Val-d'Oise

    Pour des habits de marques ou un lecteur MP3, certains adolescents sont prêts à troquer leur corps. Ce phénomène, évoqué pour la première fois ce soir lors d'une réunion publique dans le Val-d'Oise, inquiète les spécialistes "de l'enfance".

    «Tu veux ma photo ? C'est 3 € . » Mutines, inconscientes, effrayantes, de plus en plus d'adolescentes monnayent leur image dénudée. Quand elles ne troquent pas leur corps contre un lecteur MP3 dernier cri.

    Les éducateurs et les psys parlent prudemment de « comportements pré-prostitutionnels ». Pourtant, si le phénomène reste marginal, tous s'en inquiètent de plus en plus ouvertement. Ainsi, pour la première fois, une conférence publique est organisée ce soir à Villiers-le-Bel, dans le Val-d'Oise, notamment pour sensibiliser les familles sur l'existence de ces conduites à risques, dangereuses autant que dérangeantes tant elles concernent des « gamines ».

    Dans ce département, où a été créé en 2002 un "comité de pilotage de la lutte contre la prostitution" - réunissant la Direction des affaires sanitaires et sociales (Ddass), la police et l'inspection académique -, les adultes ont ouvert des yeux ronds, ces deux dernières années, en découvrant les « affaires » remontant des établissements scolaires. « C'est un phénomène caché et occasionnel, mais qu'on voit vraiment évoluer », explique Dominique Lhuillery, qui travaille dans une association de lutte contre la prostitution, l'Amicale du nid. « Les jeunes filles vendent leur corps pour des raisons futiles, comme avoir la même paire de chaussures que la copine. »

    Ni vraiment vénales ni vraiment conscientes de ce qu'elles font, ces "jeunes" sont avant tout, veulent croire les professionnels de la protection de l'enfance, des « victimes dont les repères et les limites sont totalement brouillés ». (toujours cette même rengaine!) A 14 ans, aujourd'hui, les filles sont près de 40 % à avoir déjà visionné un film pornographique.

    « On connaissait une prostitution d'étudiantes, en lien avec la précarité. Là, c'est différent », analyse Dominique Versini, la défenseur des enfants, dont le dernier rapport plaide pour une meilleure prise en charge des "ados en souffrance". « C'est la traduction d'une ambiance générale : un contact avec la pornographie de plus en plus jeune, une image du corps de la femme dégradé au rang de marchandise, une société où tout se réduit à l'argent... C'est terrible pour les jeunes les plus fragiles... »

    On ne va pas pleurer tout de même! S'ils préfèrent se prostituer entre eux plutôt que d'étudier, c'est leur choix!

    On voit que les "éducateurs" et les "psys" sont en plein échec, payés pour rien par les contribuables français!

  • Quel scandale!

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    26 avril 1894 - 17 août 1987
    On peut lire sur la tombe de Rudolf Hess l'épitaphe suivante : « J'ai osé ».
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    "Un nazi collant", titrait hier matin le Tageszeitung, quotidien allemand de gauche. Le nazi, c’est Rudolf Hess, à l'effigie duquel la Deutsche Post a créé vingt timbres… sans le savoir. Le mensuel d’extrême droite Die Deutsche Stimme (La voix allemande) rapporte l’affaire dans son numéro de mai, pas peu fier que des partisans aient déjoué les contrôles de la poste pour célébrer à leur manière l’anniversaire de la naissance du dignitaire nazi.

    Rudolf Hess fut un proche d’Hitler de la première heure, représentant du Führer dans les années 1930, avant de perdre son aura en 1941 lorsqu’il s'envola pour la Grande-Bretagne et fut aussitôt emprisonné. Lors des procès de Nuremberg, il fut condamné à la perpétuité. Il sera retrouvé pendu dans sa cellule de Spandau en 1987, après 41 ans de détention. Depuis l’extrême-droite allemande le considère comme un martyr. La prison de Spandau (Berlin-Ouest) a été entièrement rasée après la mort de son dernier occupant, Rudolf Hess, afin qu'elle ne devienne pas un "lieu de culte".

    La poste ne s’attendait sûrement pas à ça lorsqu’elle a lancé en février dernier son tout nouveau produit, le "Plusbrief individuell" (enveloppes prétimbrées individuelles): depuis le site internet du groupe postal, chacun peut fabriquer un timbre à partir d’une photo. Un produit marketing "créatif et facile à utiliser", censé appâter le client dans un marché du courrier aux particuliers ouvert à la concurrence depuis 2008.

    Goethe, Schiller, et maintenant… Hess!

    Goethe, Schiller, et maintenant vous aussi: "concevez votre propre timbre" invite toujours le site. Sans se douter que cela fonctionnerait aussi pour les anciens dignitaires nazis. Hannes Natter, auteur de l’article paru dans la Deutsche Stimme, mensuel du parti néonazi allemand le NPD (Nationaldemokratische Partei Deutschlands), ironise: "Peu avant le 114e anniversaire de la naissance du représentant d’Hitler Rudolf Hess le 26 avril, la Poste AG a imprimé un timbre avec son effigie"

    Malaise chez les postiers... Dirk Klasen, attaché de presse de la Deutsche Post, ne peut que confirmer que "vingt lettres ‐c’est le nombre minimum pour une commande- ont bien été imprimées en mars 2008". Et d’enchaîner:

    "Nous regrettons vivement ce qui a pu se passer et avons sensibilisé notre équipe de contrôle pour éviter que cela se reproduise à l’avenir."

    La Deutsche Post a effectivement prévu un système de garde-fou en cas de client "spécial". Sont surveillées les images à caractère pornographique ou visant à la promotion des drogues, des armes, et des idées "extrémistes". S’agit-il d’une négligence? Les traits de Rudolf Hess n’évoquent-ils aujourd’hui plus rien? "Le contrôle ne peut pas être garanti à 100%", explique t-on simplement à la Poste.

    Mauvaise passe pour la Poste

    L’incident intervient alors qu’en Allemagne la question de l’interdiction du parti d’extrême droite du NPD, qui existe depuis 1964, est toujours en débat et que depuis quelques semaines une campagne d’affichage sauvage dans les quartiers est de Berlin stigmatise les visages de présumés néonazis.

    Le cas n’est bien évidemment qu’anecdotique puisque seules vingt enveloppes prétimbrées (30 euros la vingtaine) ont été mises en circulation et qu’aucune inscription écrite ne vient rappeler à qui appartient ce regard perçant. Mais il est gênant que le logo du leader mondial de la logistique (Deutsche Post World Net dont la Deutsche Post AG est une filiale) apparaisse à côté du portrait du nazi. L’entreprise avait déjà fait déjà fait parler d’elle en février dernier lorsque son patron, Klaus Zumwinkel avait démissionné après avoir été mis en cause dans une affaire de fraude fiscale. Il était soupçonné d’avoir soustrait un million d’euros de ses revenus.

    (Rue89 - 22 mai 2008)

  • La nuit, tous les chats sont gris...

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    Max

  • Art préhistorique

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    Bison de la grotte d'Altamira, Santander (Espagne), découverte en 1879.
    Entre 15.000 et 13.000 ans
    Pour s’éclairer, les peintres disposaient de lampes à graisse et de torches en bois de genévrier. On a également retrouvé la trace d’échafaudages destinés à atteindre les hauts plafonds.

    Les couleurs ont été produites grâce aux terres minérales : ocre, hématite (rouge), limonite (jaune) et kaolin (blanc).

    Etudes et controverses ont longtemps porté sur la nature et la signification des peintures. On a oublié dans ces interprétations qu’outre les peintures, des traces de danses rituelles étaient à proximité.
    Dans la grotte du Tuc d’Audoubert, en Ariège, on a découvert les empreintes de pas de six enfants en six rangées qui attestent d’une chorégraphie spécifique.

    De nombreuses cavernes ont livré des flûtes, ce qui tendrait à prouver que des danses accompagnées de musique étaient accomplies.