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  • La baisse des impôts n'aura pas lieu malgré les promesses de Sarközy

    Le gouvernement ne tiendra pas les engagements de Nicolas Sarközy sur la diminution des impôts et des cotisations sociales. Contrairement à ce qu'avait promis le candidat de l'UMP à l'élection présidentielle, le taux de prélèvements obligatoires français ne sera pas ramené à celui de la moyenne de la zone euro. Il eût fallu, pour ce faire, le réduire de quatre points de PIB et trouver les 68 milliards d'euros annoncés.

     

    Le CPO propose de simplifier les règles qui leur sont applicables, en alignant notamment les régimes fiscaux des bénéfices non commerciaux (BNC) et des bénéfices industriels et commerciaux (BIC). Le Conseil souligne également le caractère très inégalitaire du régime des indépendants et relève que les revenus des professions libérales, qui se versent le plus gros de leur rémunération en dividendes plutôt qu'en salaires, échappent à une partie non négligeable des prélèvements sociaux. Le conseil préconise donc d'établir "un système plus juste et plus équilibré" en mettant fin au plafonnement des cotisations d'assurance-maladie et en encadrant davantage les arbitrages entre dividendes et rémunérations.

     

    L'exercice est devenu impossible : le ralentissement de la croissance risque de compromettre les chances de la France de tenir ses engagements européens de réduction du déficit public et de la dette. Vendredi 21 mars, dans un communiqué sur "les mécomptes de la droite", le Parti socialiste a souligné que "le projet de budget 2008 adopté à l'automne dernier était fondé sur des paramètres économiques et financiers aujourd'hui totalement erronés" et que la détérioration de la situation économique "aura de graves conséquences sur les recettes".

     

    Depuis plusieurs semaines déjà, la ministre de l'économie, Christine Lagarde, qui est chargée de la revue générale des prélèvements obligatoires (RGPO), admet mezza voce conduire ses réflexions en partant de l'hypothèse d'une stabilisation du taux de prélèvements obligatoires (PO). Présenté le 20 mars, le dernier rapport du Conseil des prélèvements obligatoires (CPO), consacré à la comparaison des taux de prélèvement entre pays développés, a apporté de l'eau à son moulin : s'il "ne cautionne en aucun cas le caractère inéluctable de leur hausse", il relativise aussi le discours sur la nécessaire baisse de la pression socio-fiscale. Les prélèvements obligatoires, fait-il valoir, "ne peuvent se comparer d'un pays à l'autre sans prendre en considération les dépenses qu'ils financent, c'est-à-dire en tenant compte de la place de services publics et des transferts sociaux dans l'économie" des pays.

    Au lendemain des élections municipales et cantonales, le ministre du budget, Eric Woerth, s'est engagé : "Nous n'augmenterons pas les impôts. Nous n'augmenterons pas la CSG, nous n'augmenterons pas la TVA", a-t-il déclaré le 19 mars dans l'émission "Face à nous" Public Sénat-Le Parisien-Le Nouvel Observateur, en précisant qu'il y avait "d'autres manières de faire" que d'augmenter la contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS).

    En quelques mois, le débat fiscal français s'est donc complètement déplacé : la question n'est plus de réduire les prélèvements, mais bien, comme l'opposition le martèle, de savoir s'il est encore possible de ne pas les augmenter. Signe de ces difficultés, la RGPO, un chantier pourtant censé être le pendant, sur la fiscalité, de la révision générale des politiques publiques, a pris beaucoup de retard.

    Officiellement, le cabinet de la ministre de l'économie poursuit ce travail. Il doit aboutir, "à l'horizon de quelques semaines", à un état des lieux de la fiscalité française et à des propositions pour la rendre plus compétitive. Mme Lagarde souhaite pouvoir peser sur le contenu du projet de loi de finances triennal (2009-2011). Bercy assure avoir besoin encore d'"un peu de temps" pour retravailler le prérapport de l'inspection des finances, tout comme Eric Besson, secrétaire d'Etat à l'évaluation des politiques publiques, qui n'en finit pas de peaufiner son propre état des lieux.

    En réalité, entre les travaux du Conseil d'analyse économique, ceux du Conseil des prélèvements obligatoires et de la Cour des comptes, le gouvernement dispose d'une surabondance de rapports sur le système fiscal. La nette diminution de l'impôt sur le revenu, pourtant le plus progressif, la place prise par les contributions sociales et les cotisations effectives, qui représentaient en 2005 "une petite moitié (46%) de l'ensemble des prélèvements", ou l'accroissement du poids de l'impôt sur les sociétés, sont connus depuis des lustres.

    Le problème est ailleurs : il porte sur la teneur politique du message sur la fiscalité que souhaite faire passer l'exécutif, après avoir fait voter à l'été 2007 des baisses d'impôts de l'ordre de 14 milliards d'euros en régime de croisière jugées favorables aux plus riches (bouclier fiscal, allégements des droits de succession, détaxation des heures supplémentaires). L'absence de marge de manœuvre du gouvernement devrait le conduire à s'en tenir à un réaménagement de la fiscalité sur les entreprises dans un sens plus favorable aux PME. Il ne devrait pas toucher à l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), dont les libéraux de l'UMP réclament la suppression au motif qu'il constitue une exceptionfrançaise en Europe. Reste à savoir s'il pourra éviter d'augmenter la TVA pour financer la protection sociale et tenir le déficit public dans des limites acceptables pour Bruxelles.

    (Le Monde - 24 mars 2008)

  • Bruno Gollnisch: communiqué de presse

     

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    De Bagdad à Mitrovica

    Kouchner ou l’apprenti sorcier de la politique étrangère

    Nous apprenions ce lundi 17 mars que des soldats français étaient blessés par des citoyens serbes en voie d'épuration ethnique au Kosovo, berceau de leur Nation.

    M. Kouchner est pour l’indépendance du nouvel Etat kosovare, corrompu et créé en violation flagrante du droit international. Nos alliés traditionnels serbes et nos soldats en paient et continueront à en payer le prix fort.

    L’Irak, au temps de Saddam Hussein, était un régime autoritaire, mais tous ses habitants pouvaient y vivre sans oppression religieuse. M. Kouchner a soutenu l’invasion de l’Irak par des troupes étrangères. Nous apprenons aujourd’hui qu’il compte faire venir en France 500 Chrétiens d’Irak persécutés.

    Le chaos engendré par l’occupation de l’Irak depuis 5 ans, au prétexte de la démocratie, ce sont les Irakiens dans leur ensemble, et les Chrétiens en particulier, qui en font les frais.

    De la guerre du Viet-Nam à aujourd'hui, M. Kouchner s'est fait une spécialité : choisir le mauvais camp d'abord, gémir sur les victimes de ses choix politiques ensuite. C'est l'incendiaire qui se fait pompier.

    Blog de Bruno Gollnisch - 19 mars 2008

    http://www.gollnisch.com/

  • Molosses en liberté: une femme attaquée au Creusot

    L'attaque s'est produite samedi en début d'après-midi au Creusot, s'il faut en croire le Journal de Saône-et-Loire, qui révèle l'affaire. Une femme de 65 ans, Yvette Charleux, qui promenait son Yorkshire sur la rue Foch, s'est trouvée face à deux chiens, décrits sans plus de précision comme des "chiens d'attaque". Toujours selon le journal, les deux molosses n'étaient ni en laisse, ni muselés ; ils auraient accouru depuis un square situé de l'autre côté de la rue pour se jeter sur elle.

    "J'ai crié, j'ai hurlé de peur et de douleur. Le propriétaire des chiens n'était pas loin, mais personne dans la rue n'est intervenu", a témoigné la victime dans le Journal de Saône-et-Loire. Témoignage plus accusateur encore dans Creusot-Infos : "Il y avait un maître avec les chiens. Sans doute leur propriétaire. Il s'est sauvé avec ses deux chiens", a affirmé la victime. Dans ce journal, elle évoque en revanche deux gros chiens, "un noir et un blanc", sans préciser s'il s'agissait de chiens d'attaque.

    Les molosses ne la visaient pas directement, semble-t-il, mais en voulaient à son Yorkshire. Blessée alors qu'elle avait pris le petit animal dans ses bras pour le protéger, elle a été brièvement hospitalisée. Gravement mordue à la main gauche, elle devra de nouveau subir des examens mardi à l'hôpital.

    Des chiens d'attaque "en liberté totale"

    "Heureusement que je portais un gros anorak qui m'a protégée", a également raconté Yvette Charleux dans le Journal de Saône-et-Loire. Son petit chien, lui, n'aura pas eu sa chance : il est mort dans l'attaque. "Ils ont tué mon petit Filou. Mais ils auraient très bien pu se jeter sur un enfant", a-t-elle également témoigné dans Creusot Infos.

    Après avoir reçu la visite de la police, prévenue dès son agression, elle compte déposer plainte mardi. Et déjà, elle a dénoncé dans les colonnes du Journal de Saône-et-Loire : "De très nombreux chiens d'attaque se promènent dans le quartier. Ils sont en liberté totale. Depuis quelque temps, je n'osais plus sortir le soir sur la rue Foch". Elle affirme n'avoir rien dit jusqu'à ce jour "par peur des représailles". Elle aurait d'ores et déjà reçu un appel du maire, qui lui aurait proposé de la rencontrer dans la semaine.

    LCI.fr -23 mars 2008

    A qui appartiennent ces chiens sans laisse ni muselière, qui attaquent les passants en pleine rue?

    Pourquoi cette dame a-t-elle peur des "représailles"? Qui sont ces propriétaires de chiens capables d'exercer des représailles sur les passants qui portent plainte?

    MAM a eu beau parler de "mesures", c'était du vent, comme d'habitude! 

  • Le sous-préfet de Saintes limogé...

        AFP-23 mars 08. Le sous-préfet de Saintes (Charente-Maritime), Bruno Guigue, a été limogé après avoir publié une tribune dite "violemment anti-israélienne" sur le site internet "Oumma.com", a-t-on appris samedi auprès du ministère de l'Intérieur.

     
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    MAM, la grande prêtresse du "politiquement correct"
    Dans une tribune publié le 13 mars 2008, M. Guigue estime notamment qu'Israël est "le seul Etat au monde dont les +snipers+ abattent des fillettes à la sortie des écoles". Il ironise également sur les "geôles israéliennes, où grâce à la loi religieuse, on s'interrompt de torturer pendant Shabbat".

    La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a "été mise au courant mercredi du contenu de cette tribune et a immédiatement décidé de mettre fin aux fonctions" de M. Guigue, a-t-on indiqué au ministère de l'Intérieur, sans fournir plus de précision.

    Enarque, normalien, M. Guigue a publié plusieurs ouvrages, dont "Proche-Orient: la guerre des mots", et tribunes sur la situation proche-orientale.

     

  • "Les Ch'tis": un film franchouillard?

    En pleine "Ch'ti folie" (déjà près de 12 millions d'entrées dans les salles de l'Hegagone, une version allemande et une version américaine en préparation), le quotidien algérois El Watan nous rappelle que ce succcès historique est dû à deux "fils d'Algérie" . Le scénariste et metteur en scène Dany Boon, le typique gars du Nord, est né d'un père kabyle et s'appelle en réalité Daniel Hamidou. Quant au "Provençal" Kad Merad qui, nous affirme El Watan, "a transformé pour le spectacle son prénom Kaddour en Kad", il est né à Sidi-Bel-Abbès, dans l'Oranais, d'un père algérien et d'une mère originaire du Berry.

    En ce qui concerne Dany Boon : "divorcé de l'actrice Judith Godrèche, Dany Boon s'est remarié en 2002 avec Yael, qui travaille désormais avec lui. Il s'est converti au judaïsme en 2005."

    Moules et frites à volonté!

    (Source: RIVAROL - 21 mars 08 -n° 2850)

  • PÂQUES

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    BONNES FÊTES A TOUS !

  • Sarközy en chef des Armées

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    Le chef de l'Etat a profité d'un déplacement à Cherbourg, où sera mis à l'eau le sous-marin nucléaire « le Terrible », pour soigner son image de président. De retour à Paris, il a reçu John McCain, le candidat républicain aux élections américaines.

    A la tribune, face à son auditoire réuni dans l'immense nef où a été construit le sous-marin nucléaire lanceur d'engins « le Terrible », Nicolas Sarközy martèle : "L'essentiel, c'est la sauvegarde des intérêts vitaux de notre pays. Je m'en porte ici le garant. La France ne baissera pas la garde."

    » Après l'hommage rendu en début de semaine aux poilus, puis à la Résistance, le chef de l'Etat a poursuivi hier dans le registre très présidentiel que l'Elysée veut aujourd'hui privilégier. Avant de rencontrer, dans l'après-midi, John McCain, le candidat républicain à la Maison-Blanche, Nicolas Sarkozy aura prononcé à Cherbourg, en tant que chef des armées, son premier grand discours sur la défense et sa vision de la dissuasion nucléaire. Certes, la date de ce déplacement, correspondant à la prochaine mise à l'eau du « Terrible » (qui sera pleinement opérationnel en 2010), était fixée depuis deux mois. Mais le calendrier fait bien les choses.

    A son arrivée, Sarközy, écharpe noire nouée autour du cou, commence par pousser un coup de gueule. Le chef de l'Etat, qui doit rencontrer à huis clos les syndicats du groupe DCNS, s'aperçoit qu'il n'y a pas de chaises. Il exige qu'on lui trouve une salle où ils puissent discuter assis. Puis le chef de l'Etat visite l'atelier où a été fabriquée la coque du sous-marin.

     Il serre la main de deux chaudronniers, leur demande leur ancienneté, le montant de leur salaire. « Le ton n'était pas très présidentiel, sourit Thierry, c'était de notre niveau. On est contents de le voir. Le dernier président à être venu ici, c'était De Gaulle, en 1967. » « J'avais 4 ans et j'étais sur les épaules de mon père qui travaillait déjà ici », renchérit son collègue. Un peu plus loin, Sarközy demande à un soudeur combien de temps il lui reste avant la retraite : « Quatre ans, comme vous, monsieur le Président », lui répond-il. Surpris, le chef de l'Etat hésite, puis lâche : « Eh bien, à ce moment-là, on ira boire un coup. »

     

    Vingt minutes plus tard, le discours, lui, se veut présidentiel et le ton gaullien! Il y aura des économies et des arbitrages difficiles, mais Sarkozy l'assure : « Le budget de la défense est le deuxième de l'Etat et il le restera. Il ne baissera pas. » Il réaffirme la nécessité de la dissuasion nucléaire, « l'assurance vie de la nation ». Une dissuasion « strictement défensive » dont il lui revient d'apprécier la limite. Et de prévenir : « Tous ceux qui menaceraient de s'en prendre à nos intérêts vitaux s'exposeraient à une riposte sévère de la France, entraînant des dommages inacceptables pour eux. » Il évoque aussi la possibilité, dans le cadre de la dissuasion, de procéder à un « avertissement nucléaire ».

    Mais Sarközy insiste également sur le désarmement, vantant le « bilan exemplaire et unique au monde » de la France en la matière. Il explique avoir décidé que le nombre d'armes nucléaires, de missiles et d'avions sera réduit d'un tiers. « Avec cette réduction, notre arsenal comprendra moins de 300 têtes nucléaires », précise-t-il en invitant tous les pays à ratifier le traité d'interdiction complète des essais nucléaires, à commencer par la Chine et les Etats-Unis. Et il propose l'ouverture de négociations sur un traité interdisant les missiles sol-sol de portée courte et intermédiaire. Une mesure visant en particulier l'Iran.

    Sarközy évoque explicitement la menace de Téhéran : « L'Iran accroît la portée de ses missiles alors que de graves soupçons pèsent sur son programme nucléaire. C'est bien la sécurité de l'Europe qui est en jeu. »

    C'est  la guerre contre l'Iran (et la défense d'Israël) qui le préoccupe avant tout!

  • Sarközy rappelé durement à l'ordre par le New York Times

    AFP-22 mars 2008.Le New York Times recommande samedi un peu plus de "discipline" dans la conduite des affaires au président français Nicolas Sarkozy dans un éditorial intitulé "Président Bling-Bling". 

    Evoquant comme un "camouflet" pour le président le résultat des récentes élections municipales et cantonales françaises, l'influent quotidien estime que "M. Sarközy a été puni pour toutes les bouffonneries médiatisées et peu présidentielles qui lui ont valu le sobriquet de "président Bling-Bling".

    "Pour un homme politique qui a travaillé si longtemps et si dur pour arriver à l'Elysée, M. Sarközy a démontré de curieuses notions sur comment se conduire une fois dans la place", ajoute le journal.

    "Son divorce tumultueux et son remariage presque immédiat à une chanteuse-mannequin glamour ont été quelques unes des initiatives les plus sensationnelles qui ont valu à Sarközy la couverture de 252 magazines en 2007", indique l'éditorial.

     Le New York Times rappelle également comme des preuves "de mauvais jugement" sa décision de "mettre fin abruptement" à une interview avec la chaîne américaine CBS, de "qualifier son porte-parole d'imbécile" ou "sa remarque grossière à un type refusant de lui serrer la main".

    "Ces potins sensationnels ont été assortis de messages confus du gouvernement de M. Sarkozy, le président et ses conseillers souvent parlant et agissant en porte-à-faux avec les ministres", écrit le quotidien.

    "Avec de la chance, poursuit le New York Times, le camouflet des élections sera juste ce dont M. Sarközy a besoin pour concentrer à nouveau son énergie illimitée sur ce qu'il a promis: de sérieuses réformes économiques".

    M. Sarközy "est de loin trop bouillonnant pour devenir un clone de ses pompeux et graves prédécesseurs, mais lorsque la conduite d'un homme politique interfère avec sa mission, il est temps d'appliquer une dose de discipline", conclut l'éditorial.

    Il est la honte de la France!

  • Un remariage princier ...

    Cécilia Ciganer-Albéniz, ex-épouse du chef de l'Etat français Nicolas Sarközy, va se marier dimanche à New York avec le publicitaire Richard Attias, selon le site francophone «French morning», citant une source proche du couple.

    Les journalistes du site destiné à la communauté des expatriés français à New York, généralement bien informé, avaient déjà publié l'information il y a deux semaines, et attendaient d'ultimes détails en provenance de Milan sur les tenues de mariage.

    La maison de mode milanaise Versace avait, elle, annoncé le 5 mars dernier que le couple l'avait choisi, révélant par la même occasion la date du mariage. Selon «French morning», une fête privée sera organisée demain dans la maison que possède à Greenwich, dans le Connecticut (nord-est), le patron de Publicis Events Worldwide.

    Greenwich est classée comme l'une des villes aux plus hauts revenus des Etats-Unis, précise le site.


    Samedi soir, Cécilia Ciganer-Albéniz et Richard Attias se rendront à Broadway avec des amis pour assister à la comédie musicale «Mamma mia», a encore révélé la source proche du couple à «French morning».



    Dimanche, après la cérémonie de mariage dont les détails ne sont pas connus, le couple a invité 150 personnes, dont beaucoup devaient arriver d'Europe, pour une fête au Rockefeller Plazza en plein coeur de Manhattan, a précisé à «French morning» la même source.

    Des rumeurs circulaient depuis plusieurs semaines sur le remariage de l'ex-première dame de France avec le publicitaire, pour qui elle avait déjà quitté son mari en mai 2005.

    Cécilia et Nicolas Sarközy avaient divorcé en octobre dernier, après onze ans de mariage. Le chef de l'Etat français s'est remarié le 2 février dernier avec Carla Bruni, chanteuse et ex-mannequin.

  • France:mobilisation générale pour le Tibet

    Députés et sénateurs français de tous bords se mobilisent depuis une semaine en faveur du Tibet, condamnant «la répression chinoise» contre les manifestants tibétains, lançant des actions symboliques, et appelant au boycott des cérémonies officielles des JO de Pékin.

    De nouvelles actions sont prévues après le week-end de Pâques par les parlementaires qui avaient commencé à réagir au tout début des troubles.

    Dès dimanche, alors que les premières images des violences arrivaient de Lhassa, les 44 membres du groupe d'information sur le Tibet au Sénat et leurs 62 collègues du groupe d'études sur le Tibet à l'Assemblée nationale avaient sonné la charge.


    Louis de Broissia (UMP), président du groupe sénatorial, a appelé le gouvernement à «exiger la fin immédiate des massacres» au Tibet, et à faire flotter le drapeau tibétain sur les édifices publics.

    Son homologue au Palais-Bourbon, Lionnel Luca (UMP), a décidé de manifester devant l'ambassade de Chine, pour protester contre «la répression» chinoise et réclamer des visas pour Lhassa.

    Mardi, huit députés, ceints de leur écharpe tricolore, ont manifesté durant une heure devant la représentation chinoise. «Il faut saluer le courage de ceux qui acceptent de mourir pour qu'on parle d'eux», a déclaré M. Luca, accompagnés de socialistes Patrick Bloche et Jean-Louis Bianco.

    «Nous sommes tous unis. Nous ne voulons pas que le Tibet disparaisse, nous voulons que s'ouvrent enfin des négociations, demandées depuis 20 ans par le dalaï lama», a renchéri M. Bianco, proche de Ségolène Royal.

    Tout au long de la semaine, les réactions se sont succédé : les socialistes François Hollande et Jack Lang, l'UMP Daniel Spagnou, et le président du groupe Nouveau Centre François Sauvadet, notamment.

    Les démarches symboliques se sont multipliées. Jacques Remiller (UMP) a hissé le drapeau tibétain sur sa mairie de Vienne (Isère). Son collègue PS, Jean-Louis Gagnaire, a démissionné du groupe d'amitié France-Chine.

    S'ils n'ont pas appelé au boycott des Jeux, pour ne pas être «plus dalaï lama que le dalaï lama», plusieurs parlementaires ont évoqué le boycott des cérémonies olympiques.

    «La représentation française aux cérémonies d'ouverture et de clôture doit se limiter au strict minimum», a affirmé Axel Poniatowski (UMP), président de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée.

    Vendredi, c'est au tour de Jean-Marc Ayrault, président du groupe PS à l'Assemblée, deuxième groupe en importance (204 membres), d'inviter le gouvernement à bouder la cérémonie d'ouverture pour adresser un «signal fort» à Pékin.

    La mobilisation ne devrait pas faiblir. Des questions au gouvernement sont prévues mardi et mercredi, et un nouveau rassemblement de députés devant l'ambassade chinoise n'est pas écartée par M. Luca.  

    Au Sénat, une réunion «en urgence» du groupe d'information est convoquée pour mercredi, en vue de s'entretenir avec le représentant du dalaï lama, Jampal Chosang, et décider «d'initiatives très concrètes».

    Qu'en pensent la Serbie et les Serbes du Kossovo?

    Et qu'en pense-t-on en Palestine, et à Gaza sous blocus israélien?

  • Chine et Tibet: des conflits séculaires

    Entre le Tibet avec ses cinq millions d'habitants vivant à plus de quatre mille mètres d'altitude, et le géant chinois, les rapports conflictuels remontent à la nuit des temps.

     Dans l'imaginaire chinois, le Tibétain descendu de ses montagnes pour faire des razzias a longtemps tenu le rôle du méchant. C'était l'époque où la Chine n'était pas encore constituée en empire et où les guerriers tibétains pouvaient imposer leur loi.

    Jusqu'à envahir la capitale chinoise et faire cinquante mille morts parmi les troupes adverses. Au XIIe siècle, la conquête de la Chine par les Mongols a sonné le glas de l'indépendance tibétaine et, depuis, le « pays des neiges » n'a connu qu'une brève période d'indépendance entre les deux guerres mondiales du siècle dernier.

    A partir du XVIIe siècle, le dalaï-lama, devenu chef spirituel et politique du Tibet, et ses successeurs ont assuré paix et stabilité à la région autonome dans une sorte de cohabitation avec l'empereur chinois. Une paix d'autant plus grande que le dalaï-lama était soumis à son puissant voisin. L'arrivée de Mao Zedong au pouvoir a mis fin aux velléités d'indépendance du Tibet. Le nouvel homme fort de la Chine, obnubilé par la sécurité de ses frontières (l'Himalaya tibétain est une infranchissable barrière naturelle), a annexé en 1950 avec brutalité le petit pays. En 1959, le dalaï-lama est parti en exil en Inde où il vit toujours à Dharamsala.

    Et depuis, l'histoire des Tibétains n'est qu'une suite de révoltes réprimées dans le sang. Avec une période particulièrement noire, celle de la Révolution culturelle où tous les monastères furent rasés. Les autorités chinoises ont même prévu que le prochain dalaï-lama, quinzième du nom, se réincarnerait en Chine. « Je renaîtrai hors du Tibet, loin du contrôle des autorités chinoises », a répliqué le dalaï-lama.

    (Le Parisien- 22 mars 08) 

  • Qu'on la laisse en paix!

    L'avocat de Chantal Sébire, Me Gilles Antonowicz, a affirmé vendredi à l'AFP que l'autopsie pratiquée sur le corps de sa cliente était «grotesque et n'avait pas lieu d'être» car «le délit d'aide au suicide n'existe pas».

    «Je pense que tout cela, c'est grotesque et que cette autopsie n'avait pas lieu d'être», s'est-il indigné après la conférence de presse donnée vendredi sur le sujet par le procureur de la République de Dijon.

    «Que la mort soit naturelle ou pas, qu'on fiche la paix à Mme Sébire et à ses enfants, et qu'on en reste là», a-t-il ajouté.

    «Même si l'on trouve que quelqu'un a fait ça», a-t-il ajouté à propos d'une éventuelle aide au décès de Mme Sébire, «cela finira en non-lieu car il n'y pas de délit d'aide au suicide en France.

    Cela n'existe pas», a-t-il martelé, rappelant que seule l'incitation au suicide était passible de poursuites.

    «Or, personne n'a incité Mme Sébire à mettre fin à ses jours. Elle avait dit à la France entière qu'elle voulait le faire elle-même», a-t-il indiqué.

    Le médecin personnel de Mme Sébire, Dr Emmanuel Debost, a estimé de son côté que l'«autopsie était de l'acharnement judiciaire et que cela n'apportait rien de savoir si Mme Sébire s'était suicidée ou pas».

    Le procureur de Dijon Jean-Pierre Alacchi a écarté l'hypothèse de la mort naturelle de Chantal Sébire, retrouvée décédée mercredi à son domicile de Plombières-les-Dijon (Côte-d'Or), mais a précisé qu'il n'y a pour l'instant aucune «cause spécifique» à cette mort.

  • Bayrou dépose un recours en annulation

    La justice va s'intéresser de près aux élections municipales à Pau. Le MoDem, dont la liste conduite par François Bayrou a été battue d'une courte tête au second tour, vient de déposer un recours en annulation auprès du tribunal administratif.

    Il soupçonne l'existence d'une collusion entre «Les Coulisses de Pau», hedomadaire gratuit qui a fait ouvertement compagne contre Bayrou, et Yves Urieta, le maire sortant, ex-PS soutenu par l'UMP.

    «Deux question se posent : doit-on réintégrer dans les comptes de campagnes de M. Urieta les frais des Coulisses ? Une telle pratique a-t-elle faussé la sincérité du scrutin ?» confie Jean-Paul Brin, colistier du MoDem qui a déposé le recours avec le soutien de François Bayrou.

  • Humour: histoire de Ch'timi !

    Un bon vieux Ch'timi se promène dans sa campagne natale et remarque un jeune s'abreuvant de l'eau d'un ruisseau.

    Il dit au jeune, en utilisant son patois:

    " Bô pa ch'l'iô là , min garchon , ché vaques , y z'on kié d'din ! ! ! "

    ( Ne buvez pas cette eau, mon garçon, les vaches ont chié dedans ! ! ! )

    Le jeune lui répond:

    " Monsieur, en français s'il vous plaît, je suis Marocain et je ne comprends pas les dialectes! "

    Alors le brave nordiste lui réplique:

    " Bois doucement, elle est froide !

  • Sarközy: principe de la "stricte suffisance"

    Dans un discours sur la politique de défense prononcé vendredi 21 mars à Cherbourg, Nicolas Sarközy a réaffirmé l'importance de la dissuasion nucléaire dans l'arsenal de défense français, la qualifiant d'"assurance-vie de la nation". Se disant déterminé à "assumer le coût" de cette dissuasion, le chef de l'Etat, qui est aussi chef des armées, a toutefois souhaité que s'applique le principe de "la stricte suffisance", selon lequel "la France maintient son arsenal au niveau le plus bas possible compatible avec le contexte stratégique".

     

    En conséquence, M. Sarközy a annoncé la réduction "d'un tiers" de la composante aéroportée (avions, missiles) de la force de dissuasion nucléaire française. Jusqu'à présent la France disposait de soixante Mirage 2000-N, auxquels vont se substituer progressivement à partir de 2009 des Rafale. "Après cette réduction, notre arsenal comprendra moins de trois cents têtes nucléaires, c'est la moitié du nombre maximum de têtes que nous ayons eu pendant la guerre froide", a indiqué le président.

    Le chef de l'Etat a également assuré qu'"aucune de nos armes n'est ciblée contre quiconque", une position qui tranche avec la doctrine nucléaire défendue par Jacques Chirac : le 19 janvier 2006, l'ancien président avait énuméré les "intérêts vitaux" de la France susceptibles, s'ils étaient menacés, de provoquer une riposte nucléaire, et précisé que les "dirigeants d'Etats qui auraient recours à des moyens terroristes" étaient particulièrement visés.

    Venu à Cherbourg pour la présentation du Terrible, dernier-né des sous-marins nucléaires lanceurs d'engins français, le chef de l'Etat a estimé que "s'agissant de l'Europe, c'est un fait, les forces nucléaires françaises, par leur seule existence, sont un élément-clé de sa sécurité". "Tirons-en ensemble toutes les conséquences logiques : je propose d'engager avec ceux de nos partenaires européens qui le souhaiteraient un dialogue ouvert sur le rôle de la dissuasion et sa contribution à notre sécurité commune", a-t-il poursuivi, qualifiant sa proposition d'"expression naturelle de notre union toujours plus étroite".

    A qui va-t-il vendre les têtes nucléaires supprimées après "réduction" de notre arsenal nucléaire?

  • La révolte des électeurs frontistes

    L' éditorial de Christian Bouchet

    Interviewé, dès le résultats des élections municipales connues, Dominique Reynié, professeur à l’Institut d’études politiques de Paris, analysait celle-ci ainsi : « C’est une grande défaite pour la droite. On pouvait lire le premier tour de deux manières. D’un côté, les municipales montraient une poussée limitée de la gauche. De l’autre, les cantonales montraient une défaite historique pour la droite avec le plus faible score (45%) dans ce scrutin depuis 1958. Au soir du second tour, on voit que ce sont les cantonales qui ont donné le ton: il y a un vrai effondrement de la droite. C’est un mouvement de fond d’autant plus impressionnant qu’on ne peut pas dire que le PS soit en ordre de bataille. Tant sur le plan de l’organisation interne que des idées, c’est la cacophonie qui règne à gauche. »

    Il précisait immédiatement que ces résultats s’expliquaient par la forte abstention, due « à une incontestable démobilisation de l’électorat de droite » et « à une défection encore plus forte des électeurs du Front national. Après la présidentielle, on pensait que la chute du FN profiterait à la droite, or, il n’en est rien. »

    Il est vrai que les électeurs frontistes se sont souvent trouvés, au premier comme au second tour, dans une désagréable situation : il n’y avait personne pour les représenter, aucune liste à laquelle ils auraient pu apporter leurs voix.

    Le Front national, en crise financière plus qu’organisationnelle du fait de son mauvais score aux législatives, avait choisi avec précaution de réduire sa voilure et de ne présenter que fort peu de listes. Dans la plupart des villes il était ainsi absent.

    Sur qui ses électeurs pouvaient-ils reporter leurs suffrages ?

    Sur les partisans de Nicolas Sarközy ? Celui-ci qui avait gagné l’élection présidentielle en tenant un discours musclé sur l’identité nationale, les avait très rapidement déçu et donné aux électeurs nationaux l’impression de les avoir floués. Cela tant du fait de sa manière d’être que de son ouverture politique en direction de la gauche et du lobby immigrationniste. De surcroît, il avait jugé utile de les insulter entre les deux tours, se vantant, à Toulon, de les avoir éliminé du champ électoral.

    Quant à voter pour le PS ou le Modem, c’était du pareil au même, blanc bonnet et bonnet blanc.

    Alors pourquoi aller voter, et si on le faisait pourquoi voter pour l’UMP ?

    Ainsi s’explique cette abstention anormalement élevée et cette hausse des votes blancs ou nuls qui fait que, au second tour, dans les communes de plus de 3.500 habitants, un électeur sur trois ne s’est pas reconnu dans les listes en présence.

    On peut donc tirer deux conclusions assez optimistes de ces élections. Tout d’abord l’électorat du FN n’a pas disparu, il est tout simplement en retrait et en attente. Ensuite, ses challengers groupusculaires qui espéraient lui faire de l’ombre dans certaines localités ont tous connu un échec électoral cuisant vérifiant ce que nous avions écrit dès l’origine : leurs thèmes de campagne particulièrement autistes n’ont aucun écho ni dans la population ni dans l’électorat national.

    La situation reste donc ouverte et tous les espoirs permis. Le Front national peut encore jouer un rôle historique. Il reste à savoir si sa direction saura, à court et moyen terme, prendre les décisions qui s’imposent pour le réunifier, le rénover et le redynamiserL.
    (Voxnr - 18 mars 2008) 

     

  • La Autriche: la droite populiste s'impose à nouveau

    On croyait la droite populiste autrichienne effondrée et réduite à la marginalité après son expérience gouvernementale de 2000 à 2006. Il n'en est rien. Le 9 mars, lors des élections régionales de Basse-Autriche, sa frange la plus extrémiste, le FPÖ de Heinz-Christian Strache, a gagné six points, obtenant 10 % des suffrages dans une région dominée par les conservateurs.

     

    Cette élection était le premier test électoral depuis la formation, au niveau fédéral, d'un gouvernement de grande coalition dirigé par le chancelier social-démocrate, Alfred Gusenbauer, allié aux conservateurs. Lors des élections législatives d'octobre 2006, les deux partis placés à l'extrême droite de l'échiquier avaient récolté 15 % des voix, loin des 27 % réunis par Jörg Haider en 1999. Mais les sondages les plus récents attestent d'une nouvelle remontée, créditant les deux formations héritières du FPÖ de M. Haider de 19 % à 20 % des suffrages. Seul le Vlaams Belang, en région flamande, peut prétendre à un meilleur score en Europe.

     

    En 2000, l'entrée du parti de Jörg Haider dans un gouvernement de coalition dirigé par les conservateurs avait soulevé une vague d'indignation en Europe. Si une alliance entre les conservateurs et M. Strache paraît difficile, la situation politique actuelle conduit à une paralysie. La grande coalition est en panne. Et on suppute désormais à Vienne la date d'élections anticipées.

    Or, même divisée - Jörg Haider, débordé par l'aile la plus radicale, était sorti du FPÖ en 2005 pour créer une nouvelle formation, le BZÖ -, la droite populiste et nationaliste reste la troisième force politique autrichienne et la première force d'opposition.

     

    SURENCHÈRE ISLAMOPHOBE

     

    Les deux partis rivaux de Heinz-Christian Strache (crédité de 15 % des suffrages par les sondages) et le BZÖ de Jörg Haider (3 à 5 %) se disputent les suffrages d'un électorat essentiellement masculin et de faible niveau d'éducation, touché par la précarité économique. Au niveau du discours, il n'est guère aisé de les différencier. Les deux leaders mobilisent les hantises de l'"homme simple" dont ils se veulent les défenseurs : centralisme européen et corruption des élites, mondialisation, immigration...

    Durant la campagne législative de 2006 et l'élection municipale de Graz, la deuxième ville d'Autriche, en 2007, la surenchère islamophobe a atteint des sommets.

    "Le FPÖ amalgame avec succès un courant idéologique minoritaire fondé sur une culture d'extrême droite et un populisme d'opposition", selon le politologue Anton Pelinka. Le noyau dur se réfère toujours à une culture extrémiste incorporant des éléments pangermanistes et révisionnistes. Mais le discours officiel, destiné à séduire un électorat protestataire plus vaste, exploite des thèmes populistes. De vieux scandales exhumés éclaboussent la grande coalition, paralysée. Le FPÖ et le BZÖ surfent sur le fort sentiment de frustration des électeurs.

    "A la différence de la France et de la Belgique, les hommes politiques autrichiens n'ont pas décrété de cordon sanitaire à l'encontre de la droite populiste et extrémiste", remarque Anton Pelinka. A moins que sociaux-démocrates et conservateurs ne s'accordent pour voter le passage au scrutin majoritaire, ou que les Verts, crédités de 14 % à 15 % des suffrages, créent la surprise, les acteurs politiques autrichiens pourraient se voir contraints de composer à nouveau avec la droite populiste.

    Heinz-Christian Strache exclut d'entrer dans une coalition. Mais il pourrait négocier son soutien parlementaire au cas par cas en pesant par sa force électorale.

    (Le Monde -20 mars 2008)

    A remarquer: les hantises de l'''homme simple". Mais quelles sont les "hantises" de l'homme complexe?