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Blog - Page 1885

  • Alain Soral sur le "droit au blasphème"

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    Pour le droit au blasphème
    28-04-2008
    Monsieur Le Pen a tort, la chambre à gaz n'est pas un détail. Monsieur Le Pen a profondément tort, la chambre à gaz est tout sauf un point de détail, c'est même aujourd'hui, plus qu'hier encore, la religion, le dogme autour duquel tourne toute l'époque contemporaine. Dans l'ordre du sacrifice fondateur, la chambre à gaz a remplacé la croix du christ.

    Pourtant, ou justement pour ça, au nom du droit à la libre pensée face à ceux qui croient et veulent nous obliger à croire, je réclame le droit, pour Jean-Marie Le Pen, de considérer la chambre à gaz comme « un point de détail de la seconde guerre mondiale », comme tant d'autres se donnent le droit de chier sur la croix.
    Que ce soit celle d'hier ou d'aujourd'hui, le citoyen libre se doit de lutter contre toutes les inquisitions et leurs cortèges sanglants de bûchers et d'abjurations. Nous, européens, n'avons pas mis trois siècles à nous émanciper du pouvoir temporel du Pape pour en arriver là !

    Aujourd'hui, dans ce climat de judéomanie délirante - une judéomanie délirante et suspecte qui tient plus de l'esprit de la Collaboration que du combat pour le bien et l'amour des hommes - plus les souffrances de la guerre s'éloignent, plus c'est la seconde guerre mondiale toute entière qui devient un détail de la chambre à gaz !
    50 millions de morts, russes, communistes, polonais, anglais, américains, civils, résistants, japonais et mêmes allemands et, parmi eux, 500 mille morts Français, ce n'est presque plus rien face à la chambre à gaz, ou aux 28 mille enfants juifs que certains voudraient faire assumer pour l'éternité aux écoliers de France innocents.

    Dans ma famille de Résistants savoyards où la guerre nous a coûté six morts et la ruine - comme elle coûta son père au petit Jean-Marie -, nous avons nous aussi sauvé des vies: seulement c'était des Espagnols. Il faut dire qu'en ce temps là si on sauvait des juifs, on ne le faisait pas pour sauver le peuple élu mais pour sauver des êtres humains tout court, menacés par la méchanceté et la violence des hommes... À l'époque, on ignorait que 60 ans plus tard ne seraient plus comptabilisés que les sauvés marqués d'une étoile, et que sur le marché des Justes, ça ne vaudrait plus rien les Espagnols !
    De vous à moi, combien cette relecture de la seconde guerre mondiale, cette réécriture théo-différentialiste, à la limite de l'inégalité raciale, va-t-elle encore durer ?
    Combien de temps encore la Mémoire va-t-elle empêcher l'Histoire ?
    Au moment du Darfour, de la Palestine, de l'Irak, du Tibet... n'y a-t-il pas d'autres combats à mener pour le salut des hommes ? De massacres, de génocides, d'ethnocides à condamner, à empêcher ?
    Au moment où la montée en puissance de l'Inde et de la Chine est sur le point de remettre en cause le leadership de notre confortable et dominateur monde post-méditerranéen, les querelles intra-monothéistes sont-elle vraiment notre priorité ?

    Qui aura le courage de dire, dans cet inquiétant climat de lynchage pour une petite phrase réitérée dans un obscur follicule breton, que le problème ce n'est pas le détail de Jean-Marie Le Pen. Une petite phrase plus taquine que méchante qui lui a déjà coûté 120 briques (et à ce prix là, on peut comprendre que le peu dispendieux Le Pen ait envie de l'utiliser deux fois). Une petite phrase inattaquable - dois-je le rappeler ? - aux Etats unis d'Amérique, qui ne sont pourtant pas le pays de l'antisémitisme, parce que là-bas le 1er amendement garantit à tous, et pas seulement à Finkielkraut et ses sorties sur les « antillais qui filent un mauvais coton » ou « l'équipe de France black-black-black qui serait la risée de l'Europe », la liberté de pensée et d'opinion...
    Qui aura le courage, à l'heure où même ses supposés proches : identitaires jaloux et autres apparatchiks en embuscade se désolidarisent du vieux chef comme on se détourne d'un pestiféré, de dire que le problème ce n'est pas le « détail » mais la loi Gayssot ?
    Cette loi d'exception contraire à tous les principes démocratiques et républicains, de l'aveu même de tous les politiques et historiens qui comptent, de Simone Veil à feu Vidal-Naquet...
    Une loi d'exception qui, en instituant par le délit l'Histoire officielle, interdit toute recherche historique et l'Histoire. Dubito ergo sum res cogitans... Nous savons pourtant bien, dans ce pays qui vit naître Descartes, qu'en interdisant le doute, c'est la pensée qu'on interdit. Loi inique, de surcroît fratricide, puisqu'en inaugurant la concurrence des mémoires - et par la jurisprudence dont se réclament déjà les arméniens, les africains, les maghrébins, en attendant les vendéens et les gays... -, elle incite au communautarisme victimaire généralisé, tuant la fraternité française et son universalisme républicain...
    Trois siècles de haute philosophie, deux siècles de sécularisation du religieux et un siècle de séparation des Eglises et de l'Etat pour en arriver là ? À ce retour en douce d'une Inquisition qui ne dit pas son nom ? Qui criminalise la dissidence, l'insoumission, le relativisme, le décalage, l'ironie... obligeant le rebelle à l'abjuration sous peine de ruine et de prison ?

    Devant l'ignoble lynchage des bien pensants et les discrets lâchages, moi le libre penseur, pour rester du côté des opprimés et des faibles dont le sort change avec l'Histoire, j'affirme mon soutien à Le Pen le relaps ; relaps comme Jeanne d'Arc et Giordano Bruno... Par principe, au nom du droit à la liberté jusqu'à la mal-pensance, au nom du petit doigt d'honneur levé devant les puissants botteurs de dèrches et ses cohortes de lèches culs, de faux culs, j'affirme mon soutien à l'insoumis.
    Car ma peur, ma vraie peur, ce ne sont pas les provocations ou les lubies d'un vieil homme, mais la peur bien plus grande de voir ce pays sombrer chaque jour plus bas dans l'obscurantisme totalitaire.
    Un pays de soi-disant culture et de liberté où la horde des veules, faux courageux, vrais tartuffes et autres pétaino-gaullistes éternellement dans le sens du vent se réjouissent déjà, à l'unisson, au nom bien sur de la démocratie du bon et du bien, que le pays de Voltaire se promette de jeter demain en prison un vieux monsieur de 80 ans parce qu'il refuse de se dédire, parce que têtu jusqu'à la déraison, il refuse de baisser la tête et de faire comme un chien, à coups de pieds au cul comme eux tous, là où on lui dit de faire...

    En tant qu'intellectuel français dissident, moi, Alain Soral, qui ne bénéficie même pas des soutiens d'un Soljenitsyne du temps de sa splendeur dans le Vermont (va savoir pourquoi ça s'est gâté depuis), par ce simple texte, je réclame haut et fort, face aux désapprobations tonitruantes et aux silences gênés, le droit au blasphème pour tous, pas seulement pour Houellebecq ou Philippe Val de Charlie Hebdo...
    Et, au nom de ce droit sacré en terre laïque, malgré tout ce qui nous sépare : âge, parcours, origine politique..., je veux rendre hommage à un grand résistant. Pas un rentier de la Résistance à francisque. Un résistant à cette démocratie totalitaire qui tue la liberté, l'esprit d'indépendance, le sens de l'honneur et de la fidélité. Un résistant à cette République qui, à coup de devoir de mémoire forcé, de repentance obligatoire et autres criminalisations des automobilistes et des fumeurs, transforme peu à peu l'esprit français en catéchisme et le peuple français en bétail.

    C'est, en somme, parce que je sais que l'affaire du détail est tout sauf un détail, que je réclame, pour Jean-Marie Le Pen, le droit de se tromper et le droit au détail !

    Vive la France libre !

    Alain SORAL

    http://www.alainsoral.com


  • TERRE & PEUPLE

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    TERRE & PEUPLE
    BP 46
    69380 LOZANNE
    Tél: 04.72.54.39.93
    Adresse électronique: contact@terreetpeuple.com
    Site Internet:  www.terreetpeuple.com

  • La victoire de Gianni Alemanno

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    «Cette longue bataille s'est conclue par notre victoire. J'ai la ferme intention d'être le maire de tous les Romains», a notamment déclaré Alemanno.

    Après 15 ans aux mains de la gauche, la mairie de la capitale italienne revient à l'ancien néo-fasciste Gianni Alemanno.

  • Les psys et les délinquants sexuels...

    Psychiatre et criminologue, Roland Coutanceau est également membre de la commission d'analyse et de suivi de la récidive.

    LE FIGARO. - Selon son parcours judiciaire, le meurtrier présumé de Susanna Zetterberg ne se serait pas signalé entre 1999, sa sortie de prison, et 2005, où il est impliqué dans un vol à main armée. Peut-il y avoir ainsi une telle période d'inactivité chez un délinquant sexuel ?
    Dr Roland COUTANCEAU. - Il n'y a pas de fatalité de la répétition, mais il arrive que des délinquants sexuels récidivent après une longue période de latence. Certains dérapent dans un moment de fracture de leur trajectoire qui fait remonter leurs pulsions à la surface. À la suite d'une perte affective, d'un manque d'argent ou d'un trop grand isolement social, ils peuvent être tentés de recommencer, de regagner un sentiment de toute puissance. Ils se disent que, perdu pour perdu, autant faire ce qui leur passe par la tête. Pour éviter la récidive, il faudrait d'ailleurs apprendre à repérer ces périodes à risque.

    Le phénomène d'escalade - le passage de l'agression au viol puis au meurtre - est-il fréquent chez les délinquants sexuels ?
    La majorité des délinquants ont leur «style» et reproduisent les mêmes actes, suivent le même schéma. Il y a très peu de tueurs chez les agresseurs sexuels. Pour une minorité, il existe cependant un phénomène d'escalade. Il concerne les sujets les plus mégalos, qui recherchent la toute puissance dans le crime et ne sont pas intimidables par la sanction. Il touche aussi certains délinquants sexuels qui, à force d'être condamnés, cherchent à éliminer les traces de leurs actes parce qu'ils ont peur d'être reconnus.

    L'affaire Susanna réactualise le débat sur de la prévention de la récidive des délinquants sexuels. Que préconisez-vous ?
    Certaines peines pourraient être assorties de contraintes plus importantes dans le cadre de la liberté conditionnelle. Je pense non seulement au bracelet électronique mais aussi à une surveillance policière structurée, en fonction de la dangerosité. En outre, la prise en charge de la prévention doit être au cœur de la politique de détention. Pendant la peine, il faut développer un accompagnement «criminologique» pour mieux repérer les sujets dangereux et les prendre en charge afin de diminuer leur dangerosité avant la sortie.

         Ces propos tout empreints de compassion envers les délinquants sexuels sont particulièrement révulsants alors qu'une jeune femme innocente vient de mourir torturée dans les pires souffrances!
  • La vie criminelle de Bruno Cholet

    Un petit homme «particulièrement violent», qui se dit lui-même «caractériel» : ainsi est apparu Bruno Cholet au fil de ses crimes et séjours en prison.

    C'est peut-être la seule constante de son impressionnant parcours criminel : Bruno Cholet, chaque fois qu'il s'est trouvé confondu par les forces de l'ordre, a choisi de s'enfermer dans le silence. Toujours, l'homme a dédaigné de se défendre, comme indifférent à la perspective de retourner en prison. Parfois, il a même semblé s'en réjouir lorsque par exemple, devant une cour d'assises, il s'est vanté un jour : «J'ai quand même 32 ans et plus de 17 ans de prison.» Dans son dossier pénal, l'administration pénitentiaire a pris soin de préciser récemment que l'homme affiche «un caractère particulièrement violent et psychologiquement instable».

    Né en avril 1957 à Épernay (Marne), Bruno Cholet a pour la première fois été condamné à une peine de prison ferme alors qu'il avait quinze ans à peine, pour un vol à main armée. Trois ans plus tard, en 1976, il «tombe» pour l'enlèvement et le viol d'une femme de 22 ans à Senlis (Oise) ainsi que pour un vol, qui lui valent six ans de prison.

    Libéré en 1981, l'homme passe deux ans sans faire parler de lui puis replonge, fin 1983, pour le rapt et le viol d'une fillette de 12 ans. Le 7 décembre en fin de journée, Cholet, sans emploi et domicilié à Franconville (Val-d'Oise), a en effet enlevé la petite Virginie dans une rue de Senlis alors qu'elle rentrait chez elle après son cours de tennis. Sous la menace d'un revolver, il l'a forcée à monter dans sa voiture puis l'a conduite dans une forêt voisine pour abuser d'elle. Au moment de la ramener à son domicile, il a été repéré par le père qui l'a pris en chasse mais est parvenu à s'échapper avant de déposer sa proie devant l'hôpital d'Eaubonne. Deux jours plus tard, c'est finalement par hasard qu'il a été interpellé.

    Résolument muet devant les policiers, Cholet finit par reconnaître les faits, de même qu'il admet avoir violé en 1983 une auto-stoppeuse de 21 ans qu'il a abandonnée, nue et ligotée, en forêt de Rambouillet. Lors de son procès devant la cour d'assises de Versailles, l'homme évoque, pour expliquer sa trajectoire malfaisante, une «enfance tumultueuse» et se définit comme «caractériel».

      Condamné à dix-huit ans de réclusion criminelle, Bruno est sorti de prison en 1999 mais il a depuis lors été condamné pour divers délits. En 2000, il a ainsi comparu devant le tribunal correctionnel de Paris pour avoir déclenché une fausse alerte à la bombe alors qu'il venait de manquer le train qui devait l'emmener chez ses parents, dans le Gers. Manque de chance : le ministre de l'Intérieur, Jean-Pierre Chevènement, se trouvait à bord de la rame arrêtée si bien que la police antiterroriste a mis un soin tout particulier à trouver le plaisantin. En 2006, il a été condamné à trois ans de prison à Versailles pour un braquage commis l'année précédente.

    Le 24 août dernier, enfin, Bruno Cholet a été condamné à huit mois de prison dont six avec sursis pour exercice illégal du métier de taxi. Récemment, ce petit homme rondouillard dont le regard noir perce au travers de lunettes rectangulaires travaillait en effet comme chauffeur dans le quartier de la gare du Nord. Depuis septembre, il habitait près de là, chez une amie tunisienne, Houda, docteur en sciences politiques (?) qui l'avait pris sous son aile. Vendredi dernier, l'homme a brusquement quitté le studio après s'être disputé avec elle, puis il a coupé son téléphone mobile. Muré, une nouvelle fois, dans le silence, il est ensuite parti en chasse.

    (Le Figaro 28 avril 2008)

         
  • Un des collégiens est entre la vie et la mort

    Trois collégiens ont été blessés lundi à coups de couteau par un de leurs camarades au collège Olivier-de-Serres à Meyzieu, dans le Rhône. Deux garçons et une fille, âgés de 14, 15 et 16 ans, ont été "sérieusement blessés" au thorax, au cou, à une jambe et hospitalisés, a précisé à la presse le recteur de l'académie de Lyon, Roland Debbasch. L'adolescent blessé au thorax a dû être opéré. Selon le ministre de l'Education nationale Xavier Darcos, qui s'est rendu sur les lieux, ce dernier "a un pronostic vital encore non assuré."
     
    L'agresseur, un élève de 3e, est rentré tour à tour dans deux salles de classe et s'en est pris vers 9h30, pour des raisons encore ignorées, aux trois élèves, avant de prendre la fuite. Xavier Darcos a indiqué que l'adolescent, qui a été arrêté peu après, avait exprimé sur un blog "des intentions de vengeance."

    Avant de les agresser, il leur a demandé "s'ils croyaient en Dieu"!

     
    Cet agresseur présumé a été hospitalisé en raison "de plaies conséquentes aux poignets qui ont nécessité une opération". "Compte tenu de la personnalité de ce jeune homme, nous ne pouvons pas dire à l'heure actuelle s'il s'agit d'une tentative de suicide ou d'auto-mutilations".
     
    Des perquisitions ont eu lieu au domicile du collégien et son ordinateur a été saisi. Selon les premiers éléments de l'enquête, "cet élève de 3ème avait prémédité son agression. Il avait apporté avec lui trois couteaux de cuisine, ce qui montre quand même une certaine détermination", a-t-on ajouté de source judiciaire.

    LCI.fr 28 avril 2008

  • VIDEO Le parachute de Léonard de Vinci

    http://www.dailymotion.com/video/x58b5a_un-vrai-saut-avec-le-parachute-de-l_tech

    Magnifique!

  • "Delenda est Carthago..."

    La Tunisie et la France ont signé lundi soir un accord dit de gestion concertée des flux migratoires, le premier conclu entre Paris et un pays du Maghreb, au premier jour de la visite d'Etat du président français Nicolas Sarközy à Tunis, a annoncé la présidence française.

    Cet accord a été paraphé par le ministre français de l'Immigration Brice Hortefeux et le ministre tunisien des Affaires étrangères Abdelwaheb Abdallah, en présence de M. Sarkozy et du président tunisien Zine El Abidine Ben Ali.


    Outre un "volet répressif contre l'immigration clandestine", ce texte doit permettre d'ouvrir le marché du travail français aux Tunisiens qui, selon le texte, «ont des compétences de haut niveau ou pour des métiers pour lesquels existe en France une demande non satisfaite».

    Il prévoit également de «faciliter la circulation des personnes» entre les deux pays, notamment par une délivrance «plus large» des visas français d'une durée de un à cinq ans, et d'appuyer «des actions de développement solidaire» telle que la formation professionnelle au profit des Tunisiens ainsi que la création d'emplois dans les régions tunisiennes d'émigration.

    Avant la Tunisie, la France a signé des accords sur le contrôle des flux migratoires avec quatre pays africains, le Bénin, le Sénégal, le Gabon et la Républiqie du Congo.

    Près de 600.000 Tunisiens vivent légalement en France et les Tunisiens constituent la troisième communauté étudiante étrangère en France avec 10.000 étudiants inscrits, selon les chiffres officiels.

    Les consulats français en Tunisie délivrent par ailleurs chaque année quelque 80.000 visas à des ressortissants tunisiens.

    Et les chômeurs français de souche, qu'est-ce qu'ils vont faire? Aller cueillir les dattes en Tunisie?

    "Delenda est Carthago": célèbre formule de Caton l'Ancien, sénateur de Rome (234 à 149 av.J.C.)

  • VIDEO Le Carnaval des cités à Marseille samedi 26 avril 08

    http://www.dailymotion.com/video/x58h1j_carnaval-de-marseille-26-avril-2008_news

  • L'insécurité dans les collèges n'est pas un fantasme de l'extrême-droite!

    Trois collégiens ont été blessés lundi matin 28 avril à l'arme blanche par un de leurs camarades dans l'enceinte de leur établissement à Meyzieu (Rhône) mais «aucun pronostic vital n'est engagé» pour les victimes.

    «Les faits se sont déroulés vers 09H00 dans une salle de cours du collège Olivier de Serres. Il s'agirait d'un règlement de comptes et nous recherchons actuellement l'auteur présumé des faits, qui est âgé de 15 ou 16 ans et en classe de 3e», a précisé un policier.


    Les blessés, dont l'un a été touché à la gorge, ont été aussitôt pris en charge par le Samu et transportés vers des hôpitaux de Lyon. Une cellule psychologique a été mise en place dans le collège, selon la même source.

    (Le Parisien - 28 avril 2008)

  • Meurtre de Sussanna: d'autres indices encore

    Bruno Cholet, suspecté du meurtre d'une étudiante suédoise, a été mis en examen et placé en détention provisoire.

    Un maniaque sexuel multirécidiviste, Bruno Cholet, 51 ans, a été mis en examen dimanche à Paris pour le meurtre de l'étudiante suédoise retrouvée morte le 19 avril en forêt de Chantilly (Oise), à l'issue d'une enquête éclair des enquêteurs de la Criminelle.

    L'homme est poursuivi pour «enlèvement et séquestration suivi de la mort de la victime, vol de deux cartes bancaires et escroquerie et tentatives, le tout en état de récidive légale». Des faits passibles de la réclusion criminelle à perpétuité.

    Présenté dans la soirée à un juge de libertés et de la détention, il a été placé en détention provisoire.

    Cette mise en examen vient clore une enquête menée comme «une course contre la montre» par la brigade criminelle de Paris qui a mobilisé pendant une semaine d'importants effectifs sur cette affaire classée «numéro 1». Pendant ses 48H00 de garde à vue, le suspect, qui a déjà passé une vingtaine d'années en prison pour des faits de violences, viols, atteintes sexuelles parfois accompagnés d'enlèvement, s'est montré «peu coopératif».

    Mais l'enquête a permis la mise au jour d'un «faisceau d'indices» et d'éléments matériels permettant de le mettre en cause, selon le parquet de Paris. La fouille de son monospace a été particulièrement fructueuse. Dans son coffre, les enquêteurs ont découvert dans une boîte enfermée dans un sac, un pistolet 22 long rifle, des cartouches et trois paires de menottes.

    La victime, Susanna Zetterberg, 19 ans, dont le corps en partie brûlé a été découvert il y a 8 jours en forêt de Chantilly, avait les mains menottées dans le dos et avait reçu un coup de couteau au thorax et 4 balles dans la tête. Des projectiles du même calibre que l'arme retrouvée dans le véhicule du suspect.

    Des prélèvements ADN ont été réalisés dans son véhicule même s'il a reconnu en avoir changé les housses. Les résultats sont attendus la semaine prochaine avec ceux de l'expertise balistique. Un sac portant l'inscription «Susanna 777» a également été retrouvé dans le monospace. Une découverte «troublante» pour le parquet qui dit ignorer pour l'instant s'il appartenait ou non à la victime.

    Autre indice, la présence d'un monospace blanc, semblable à celui de Cholet, a été signalé par des témoins aux abords de la boîte de nuit, la Scala, où la jeune étudiante suédoise a été vue vivante pour la dernière fois, dans la nuit du vendredi 18 au samedi 19 avril, avant de prendre ce qu'elle pensait être un taxi.

    Un chauffeur de taxi a notamment raconté avoir refusé de prendre en charge ce soir là Susanna qui sortait de l'établissement et l'avoir ensuite vu monter dans un monospace blanc. Enfin, un témoin a affirmé avoir aperçu un véhicule de ce type samedi dans la forêt de Chantilly. Parmi les autres indices du dossier figurent certains vêtements du suspect saisis par les policiers à son domicile.

    Ils pourraient correspondre à ceux portés par l'individu filmé par une caméra de surveillance, peu après le meurtre, en train d'utiliser la carte bancaire de la victime dans une agence BNP de Senlis (Oise) à quelques kilomètres de la scène de crime.

    Ils correspondraient également à ceux portés par le suspect, filmé par une autre caméra de surveillance dans un hôtel où il a reconnu, lors de sa garde à vue, avoir passé la nuit du samedi 19 au dimanche 20 avril. La compagne du suspect a expliqué à la police que son compagnon avait quitté leur domicile parisien le jeudi ou le vendredi précédant le drame après une dispute, car elle souhaitait rompre. Elle ne l'a plus revu ensuite.

    (Source: Le Parisien 27 avril 2008)

  • Sarközy: la rumeur de Malte

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    Le Parisien s'interroge : "une chambre est-elle réservée, dans le département cardiologie-urologie du Mater Dei le plus grand hôpital de La Valette, à Malte, au nom de Nicolas Sarkozy?"

    Tout part d'un article d'un hebdomadaire maltais, It-Torca, dimanche dernier. Un journaliste affirme qu'un avion Falcon 50 de la présidence de la République s'est posé à Malte, amenant une équipe médicale, dont les médecins personnels du chef de l'Etat.

    Brandon Pisani, auteur de l'article, explique que la délégation est allée inspecter le Mater Dei, un hôpital flambant neuf. Selon le journal, Nicolas Sarközy "y seraut attendu pour les tout prochains jours".

    Que disent les autorités Françaises?
    L'ambassade de France à Malte a envoyé un démenti, hier, à 13 heures, au It-Torca, pour elle, l'information est "totalement erronée".

    Du côté de l'Elysée, raconte le Parisien, on préfère rire de l'affaire "Si Sarkozy avait quelque chose au coeur, il faudrait qu'il arrête de courir ses joggings comme il le fait".

    Alors, c'est quoi cette histoire?
    Le journaliste maintient qu'un avion français s'est bien posé le 17 avril à Malte. Le Parisien émet donc d'autres hypothèses : serait-ce pour un "haut personnage d'un Etat tiers"? ou encore "d'un mouvement d'opposition dans un pays étranger, voire ... d'une guérilla ?"

  • Bruno Cholet , 51 ans, multirécidiviste sexuel

    Bruno Cholet va vraisemblablement être poursuivi pour "enlèvement, séquestration et assassinat". Les nombreux indices rassemblés par la Brigade criminelle en une semaine semblent en effet désigner cet homme de 51 ans, délinquant sexuel multi-récidiviste, comme le meurtrier de Susanna Zetterberg, une étudiante suédoise de 19 ans dont le corps a été retrouvé en forêt de Chantilly, menotté les mains dans le dos, poignardé et tué de quatre balles dans la tête et partiellement calciné.

    Bruno Cholet a jusqu'ici refusé de parler devant les policiers. Les enquêteurs se sont rendus deux fois à son domicile en sa compagnie depuis vendredi. Des expertises scientifiques sont en cours sur l'arme retrouvée dans son monospace blanc ainsi que sur le véhicule lui-même.

    Ce dossier pourrait relancer une nouvelle fois le débat sur la récidive car Bruno Cholet, sorti de prison en octobre dernier, a passé la majeure partie de sa vie en prison, notamment pour des délits et crimes sexuels. Il a été condamné une première fois et incarcéré pour un viol commis au milieu des années 1970, alors qu'il était tout juste majeur. En 1989, il a été condamné à 18 ans de réclusion pour le viol d'une fillette de douze ans et celui d'une auto-stoppeuse en 1983. Il a été libéré en 1999 après une quinzaine d'années de détention.

    Deux anomalies dans le suivi de ce criminel ont déjà été relevées pendant l'enquête : son empreinte génétique ne figure pas au Fichier national des empreintes génétiques (FNAEG) et alors qu'il est inscrit au Fichier des délinquants sexuel, son adresse dans le Xe arrondissement n'était pas en possession de la justice.

    Employé comme chauffeur dans une société, Bruno Cholet exerçait frauduleusement la profession de chauffeur de taxi occasionnellement. Les policiers l'ont retrouvé en détectant la trace d'un récent contrôle.

    Selon le scénario pour l'heure reconstitué, Susanna Zetterberg a été prise en charge vers 4h30 du matin le 19 avril à la sortie de La Scala, une discothèque, rue de Rivoli, dans le centre de Paris. Elle a dans les minutes suivantes envoyé un SMS à une amie pour lui dire qu'elle était dans un taxi dont le chauffeur lui semblait étrange puis n'a plus donné de nouvelles.

    Les policiers ont depuis repris l'enquête sur l'enlèvement d'une autre Suédoise de 19 ans, le 23 février dernier, dans des circonstances similaires. Conduite dans les Yvelines, à Orgeval, elle avait été violée, mais laissée en vie.

    Selon le Journal du dimanche, d'autres dossiers vont aussi être rouverts, notamment celui du meurtre de la directrice d'une agence bancaire, Elodie Kulik, dans la Somme en 2002.

    Europe 1-  27 avril 2008


     

     

  • JMLP: le parquet cherche une "qualification pénale" pour ses propos

    Le parquet de Paris a annoncé vendredi qu'il étudiait la possibilité de poursuivre sous une «qualification pénale» le président du Front national Jean-Marie Le Pen, pour avoir de nouveau qualifié de «détail de l'histoire de le Seconde Guerre mondiale» les chambres à gaz nazies.

    «Le parquet de Paris se livre à l'analyse du texte en cause afin de déterminer si son contenu est susceptible de recevoir une qualification pénale», a précisé le procureur de Paris, Jean-Claude Marin, dans un communiqué.

  • Sans-papiers: déjà 830 dossiers déposés

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    830 dossiers de salariés sans papiers demandant leur régularisation ont été déposés à la date de vendredi soir dans cinq préfectures d'Ile-de-France et "plus d'une centaine" d'autres devraient l'être lundi, a indiqué samedi la CGT à l'AFP.

    "830 dossiers de personnes qui participaient au piquet de grève" ont été déposés dans "cinq préfectures" franciliennes, a déclaré Francine Blanche, secrétaire confédérale de la CGT, qui a encadré depuis le début du mouvement l'action des salariés sans papiers.

    "Il reste à déposer quelques dossiers de salariés individuels et puis ceux des femmes salariées des services d'aide à la personne", a poursuivi Mme Blanche, estimant à "plus d'une centaine" le nombre de ces dossiers qui devraient être bouclés d'ici lundi.

    "Cela doit donner un total d'un petit peu moins de 1.000 dossiers" de salariés demandant leur régularisation, a-t-elle ajouté.

    Le ministère de l'Immigration avait indiqué vendredi qu'environ 900 demandes de régularisation de salariés sans papiers devaient être déposées dans les préfectures de Paris, de l'Essonne, des Hauts-de-Seine, de Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne.

    Il avait précisé que les 900 dossiers ne seraient pas forcément tous déposés vendredi soir mais dans les jours qui viennent étant donnée la difficulté de réunir les pièces nécessaires.

     (Mehdi Fedouach - AFP/Archives)
    830 dossiers de salariés sans papiers demandant leur régularisation ont été déposés à la date de vendredi soir dans cinq préfectures d'Ile-de-France et "plus d'une centaine" d'autres devraient l'être lundi, a indiqué samedi la CGT.  (Mehdi Fedouach - AFP/Archives)

  • La piste du complice dans le meurtre de l'étudiante suédoise

    Sussanna Zetterberg a été retrouvée menottée, poignardée et présentant quatre impacts de calibre 22 dans la tête.

    Qualifié de «louche» par Sussanna Zetterberg, le chauffeur de taxi aurait en chemin fébrilement manipulé son téléphone portable.

    L'assassinat de Sussanna Zetterberg, étudiante suédoise de 19 ans retrouvée samedi dernier brûlée dans la forêt de Chantilly (Oise), pourrait-il trouver une élucidation rapide ? Jeudi , près d'une quarantaine de policiers de la brigade criminelle poursuivaient leur contre-la-montre pour retrouver le ou peut-être les auteurs de cet acte barbare. Parmi les hypothèses, il est en effet possible qu'il ait été accompli avec un complice.

    Selon des sources suédoises, Sussanna, sortie vers 4 h 45 de la boîte de nuit la Scala, où elle venait de passer la nuit avec deux amies venues de Stockholm pour les vacances, aurait pris un taxi et téléphoné aussitôt à sa colocataire en lui confiant en suédois : «Je suis assise dans le taxi, mais le chauffeur a l'air louche.» Ce dernier, toujours selon elle, aurait emprunté un chemin incohérent, tout en envoyant des SMS et en regardant sans cesse son téléphone mobile. Comme s'il attendait le message de quelqu'un pouvant être un complice. Sussanna ne donnera plus signe de vie.

     

    Les policiers disposeraient d'ADN

     

    Son corps a été retrouvé à plusieurs dizaines de mètres en profondeur d'un chemin forestier d'Avilly-Saint-Léonard. «Assez loin pour qu'un homme seul n'arrive pas à transporter le corps sans l'aide complice», croit pouvoir affirmer un journal de Stockholm. D'ailleurs, différentes traces suspectes de pas auraient été repérées aux côtés du cadavre de la fille calcinée, retrouvée menottée, poignardée et présentant quatre impacts de calibre 22 dans la tête. «Nous ne désespérons pas de sortir vite cette affaire», confiait-on jeudi au 36 Quai des Orfèvres.

    Outre trois étuis de cartouche retrouvés aux côtés du corps, les policiers disposeraient d'ADN. Par ailleurs, des vidéos auraient été prises à la sortie de la boîte de nuit, notamment grâce à une caméra de surveillance de circulation plantée à côté, mais aussi au guichet d'un distributeur de billets de Senlis où, à 5 h 30, la carte bancaire de Sussanna a été vainement utilisée. Il se situe à quatre kilomètres de l'endroit où gisait le corps de sa propriétaire… Enfin, outre le passage en revue de tous les crimes sexuels commis en région parisienne ces derniers mois, la Crime travaille sur les routes et les péages vers le nord susceptibles d'avoir été empruntés par le taxi.

    (Le Figaro - 25 avril 2008)

  • Portrait-robot du suspect "faux taxi"

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    Portrait-robot de Bruno C. arrêté comme suspect dans le meurtre de Sussanna Zetterberg

  • Toute honte bue...

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    La France ne ménage pas ses efforts pour amadouer les Chinois, très froissés depuis le fiasco du passage de la flamme olympique à Paris. Elle en fait même un peu trop. Les deux émissaires dépêchés par Nicolas Sarközy, le président du Sénat, Christian Poncelet, et l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, ont rencontré hier à Pékin le président chinois Hu Jintao.

    Ils en ont rajouté sur le thème de la vieille amitié sino-française. Raffarin n'a-t-il pas apporté au numéro un chinois une biographie du général de Gaulle, premier chef d'Etat occidental à avoir reconnu la Chine en 1964 ? Surtout, il a taclé le maire de Paris, Bertrand Delanoë, pour avoir fait « citoyen d'honneur » le dalaï-lama. Quant à Christian Poncelet, il a renchéri en rappelant que « l'actualité médiatique ne doit pas faire oublier l'histoire avec un grand H ! ».


    Le président du Sénat, qui a remis à Hu Jintao un « message personnel du président Sarközy », et l'ancien Premier ministre sont restés près d'une heure en compagnie de leur hôte. La question de la reprise du dialogue entre les autorités chinoises et les émissaires du dalaï-lama, à laquelle tient Paris, a été abordée. Avec un certain succès, semble-t-il. « Hu Jintao a fait savoir que le dialogue existait et je l'ai trouvé disposé à le reprendre », a constaté Raffarin. Rien n'est gagné pourtant, la Chine souhaitant que « les exigences posées par le dalaï-lama soient modifiées », modifications que Christian Poncelet n'a pas explicitées. En fait, Pékin demande au dalaï-lama de renoncer à son projet indépendantiste... alors que l'intéressé n'a jamais rien revendiqué de tel ! En attendant, réconforté, Christian Poncelet s'est dit « convaincu que la poursuite du dialogue (NDLR : entre la Chine et la France) permettra de sortir au mieux de la situation actuelle ». Même optimisme du côté chinois, le Premier ministre, Wen Jiabao, se réjouissant des récents propos de Raffarin en faveur des Jeux olympiques.

    Enfin, le secrétaire d'Etat aux Sports, Bernard Laporte, n'est pas en reste. Dans une interview au quotidien chinois « Wen Hui Bao », il assure « comprendre l'émotion du peuple chinois » et « souhaiter profondément » que Nicolas Sarközy soit à la cérémonie d'ouverture. Avec tout cela, les manifestations antifrançaises devant les magasins Carrefour devraient cesser !

  • HISTOIRE: découverte d'une carte postale d'Anne Frank

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    1- Un directeur d'école néerlandais qui préparait une exposition sur Anne Frank z.l. a fait une bien émouvante découverte dans le magasin de son père antiquaire. C'est en ouvrant une vieille boîte contenant des cartes de voeux que son regard a été attiré par l'écriture et la signature sur l'une des cartes: elle était signée "Anna Frank", qui envoyait ses voeux de Noël à un très bon ami, Sam Lederman, et elle était postée dans la ville d'Aachen, près de la frontière allemande.

    C'est en cherchant des objets en vue de la "Journée de la Libération", le 5 mais prochain, qui commémore la fin de l'occupation nazie, que Paul Van Den Heuvel, le directeur de l'école, a fait cette découverte. C'est un journaliste qui a ensuite informé le Musée "Anne Frank" d'Amsterdam de l'existence de cette carte. Les responsables du Musée se sont alors adressé Paul Van Den Heuvel, qui le leur a remise pour authentification. Selon une employée du Musée, la carte ne comporte aucun texte si ce n'est la signature de la jeune fille et l'adresse de son ami. Il s'agit de la deuxième carte de ce genre que le Musée reçoit, et on espère là-bas que Paul Van Den Heuvel leur laissera son émouvante et précieuse trouvaille pour pouvoir la présenter au public nombreux.

    Anne Frank, ses parents, sa soeur ainsi que quatre autres Juifs, furent dénoncés après avoir passé 25 mois cachés dans une "Annexe" dans des conditions extrêmement difficiles. Ils furent déportés à Auschwitz. Anne et sa soeur furent transférées plus tard au camp de Bergen Belsen, où Anne mourut du typhus, deux semaines avant la libération du camp.

    (Source: Shraga Blum)

    2) Le directeur d'une école néerlandaise a découvert dans une caisse contenant de vieilles cartes postales, chez son père brocanteur, une carte de voeux signée «Anne Frank», a indiqué aujourd’hui la Fondation Anne Frank à Amsterdam.
    «A l'approche des 4 et 5 mai (journées consacrées aux Pays-Bas au souvenir des victimes de la Deuxième guerre mondiale et à la Libération), il était à la recherche de matériel pour animer un projet Anne Frank dans son école», a expliqué une porte-parole de la Fondation.
    La carte a été envoyée d'Aix-la-Chapelle (ouest de l'Allemagne), où la jeune fille résidait en 1937- (âgée alors de 8 ans).
    Elle est adressée à «Mlle S. (Sanne) Ledermann», une de ses amies.
    Elle représente une cloche de Noël avec des trèfles à quatre feuilles, et
    comprend le texte «Viel Glück im neuen Jahr» (littéralement : Beaucoup de chance pour l'année nouvelle).
    «Nous possédons une copie d'une carte, identique, qu'elle a envoyé le même jour à une amie à Francfort», a précisé la porte-parole de la Fondation, pour qui l'authenticité de la carte ne fait aucun doute.
    La Fondation Anne Frank espère récupérer la carte pour sa collection. «Nous devons rencontrer l'antiquaire la semaine prochaine. Il semble que l'argent ne soit pas important pour lui», a encore déclaré la porte-parole.

    (Paris-MATCH -24 avril 2008)

    Annelies Marie Frank, plus connue sous le nom de Anne Frank (12 juin 1929 - début mars 1945), était une adolescente allemande juive née à Francfort-sur-le-Main en Allemagne, qui écrivit un journal intime alors qu'elle se cachait avec sa famille et quatre amis à Amsterdam pendant l'occupation allemande de la Seconde Guerre mondiale.

    Suite à l'arrivée au pouvoir d'Adolf Hitler en janvier 1933, la famille quitta Francfort pour Amsterdam fin 1933 afin d'échapper aux persécutions nazies, mais fut arrêtée après l'invasion des Pays-Bas.

    (Wikipédia)